Samedi 25 mai à partir de 10h rencontre et signature du dernier ouvrage d’Alexis BLUMBERGS

« C’est en 2013 que j’entends parler de cette histoire pour la première fois. D’abord connue dans la région comme « L’affaire » ou « La tragédie de Thines », elle est rapidement rebaptisée « Première bataille d’Ardèche » par les historiens du fait de sa dimension hors normes et de son retentissement. » Alexis BLUMBERGS

Nous sommes à l’été 1943. La cellule « Max », de la Résistance Française, envoie 8 Francs-tireurs Partisans dans un hameau ardéchois. Organisée en coopération avec l’OSS, les services secrets américains de l’époque, leur mission consiste à réceptionner un parachutage allié. S’ils y parviennent, la région Sud pourra enfin passer à l’action : avec des armes, des munitions, de l’argent liquide et des émetteurs-récepteurs radio, les maquisards auront la possibilité de résister et de se battre contre l’occupant allemand. Huit hommes sont recrutés dans la Drôme et dépêchés à Tastevin, proche du hameau de Thines. Ils sont idéalistes, déterminés mais peu expérimentés. Ils ont entre 19 et 21 ans. Alors qu”ils préparent la réception du parachutage, un agent français de la Gestapo se lance sur leurs traces.

La soie et le fusil s’efforce de rester fidèle aux faits tels qu’ils ont été rapportés par les historiens. Par conséquent la chronologie, les personnages, les lieux, tout est vrai. Cependant, le croisement des principaux ouvrages consacrés à l’événement fait montre de contradictions régulières, parfois énormes, autour de mêmes faits, de mêmes dates, voire à propos de l’identité de certains des protagonistes. 

L’intégrité de “La tragédie de Thines” ne semble pas avoir résisté à l’épreuve du temps ni aux secrets bien gardés. Et lorsque l’Histoire contient de tels trous de mémoire, la fiction n’a-t-elle pas le droit, sinon le devoir, de les combler? Un nombre limité de libertés romanesques ont donc été prises. Pour tenter de rendre compte de la vie des français au quotidien, des personnages secondaires ont été créés. Certains civils aident la résistance, d’autres pas ou malgré eux, certains enfin travaillent pour la SD-SIPO, le service d’espionnage allemand.

Aujourd’hui, alors que la région commémore les 81 ans de la “Première bataille d’Ardèche”, ce récit souhaite rendre hommage à ses principaux acteurs : des hommes jeunes et idéalistes, prêts à mourir pour libérer la France. Et, au-delà d’eux, à l’ensemble des résistants. » Alexis BLUMBERGS
Après une scolarité effectuée au Maroc, Alexis BLUMBERGS fait des études de langue et de littérature en France, au Moyen-Orient et en Amérique latine. En 2009, il décide de rentrer pour s’installer à Paris. À vingt-sept ans, il publie « La Tristesse des Mandarines », son premier roman. Sa vie tourne à présent autour de la littérature et de l’écriture de romans. “La soie et le fusil – La tragédie de Thines” est son deuxième roman. Un troisième roman : “Fuck Fake : une histoire américaine”, est en cours de publication et un quatrième en cours de rédaction.

Pour plus d’informations, cliquez ici.


« La soie et le fusil: la tragédie de Thines » d’Alexis BLUMBERGS, aux éditions Complicités, 18€

Glaçant

A partir d’un fait réel de 1950: 22 enfants inuits arrachés à leurs familles, pour devenir l’élite Danoise du Groenland…

Deux enquêteurs, l’un au Groenland chargé de résoudre deux meurtres effroyables , et l’autre au Danemark sont confrontés à une affaire classée concernant un scandale d’État.

Immersion totale en pays Inuit, pour une lecture polaire…

L’inuite de Mo Malo aux éditions de la Martinière, 416 pages, 22€.

#VibreLivre

Roman d’horreur historique,

On suit l’aventure d’une jeune femme prête à tout pour sauver son grand-père de l’emprise néfaste d’une famille puissante des États-Unis du XIXe siècle.

On découvre le New York des bas-fonds et de la bourgeoisie où chacun(e) est prêt(e) au pire pour sauver sa peau a travers une course poursuite endiablée et gothique.

Katie de Michael McDowell chez Monsieur Toussaint Louverture

12€50

#VibreLivre

Vendredi 19 avril à 19h conférence de Pascale LANDOU et samedi 20 avril à partir de 10h signature du dernier ouvrage de Pascale LANDOU

Dans ce Guide Pratique, Pascale LANDOU nous explique que la Communication Animale est accessible à chacun d’entre nous : ce n’est pas un don, c’est une capacité que l’Homme partage avec les animaux, mais que la plupart d’entre nous a simplement oublié.

Son but est de permettre à tous ceux qui le souhaitent d’entendre, par eux-mêmes, les messages de leurs animaux. En les comprenant mieux, nous les aimerons mieux. Leurs conseils de vie et leur sagesse vous étonneront !

« Le Guide Pratique de la Communication Animale » de Pascale LANDOU-23€

entrée libre et gratuite.

Samedi 13 avril à partir de 10h rencontre-signature du dernier ouvrage de Magali BRENON.

Le premier livre de dessins de l’écrivaine Magali BRENON, un corpus développé depuis plusieurs années, entre dessin automatique, collage, assemblage, enluminure ou graffiti, qui accompagne son quotidien et son travail d’écriture, consignant une chronologie parallèle et éclatée.
Ici, le dessin sature et recouvre tout : enveloppes, factures, tickets de caisse, prospectus ou journaux ; tout ce qui fait effraction dans l’économie des jours et diffère le travail d’écriture.

Sur leurs supports hétérogènes, frappés par l’imprimerie, datés par des tampons ou par la mémoire du détail ou du travail, ces dessins accueillent aussi les recherches liées à l’écriture d’un livre en cours. Des recherches sans cesse percutées par les choses à faire, à dire, à penser ou à acheter, qui arrivent en cascade et leur opposent des listes dont il faut venir à bout. Puisque la nécessité d’écrire ne se tait jamais, elle déploie sur les compressions du temps tout son potentiel de fiction.

Magali Brenon
« Bonne Continuation » de Magali BRENON, conception graphique : Dune Lunel.Aux éditions les presses du réel152 pages22€

Magali BRENON (née en 1975) est éditrice et écrivaine. Elle a publié deux romans, « J’attends Mehdi » et « Jamais par une telle nuit » (Le mot et le reste, 2009 et 2014), ainsi que de nombreux textes parus dans des éditions d’artiste, des catalogues et des revues. Dans le cadre de son travail d’écriture elle collabore régulièrement avec des artistes et des musiciens.

Jeudi 4 avril à 19h café littéraire avec des lectures du dernier ouvrage de Michèle SOULLIER

Après « Figures & figurants, rencontres de parloirs » Michèle SOULLIER revient nous présenter son nouvel ouvrage « Elle, août 1957 », un récit autobiographique où l’auteure nous emméne à la rencontre de ceux qui l’ont précédée: parents, grand-parents et arrières, pour nous plonger dans leurs existences laborieuses au coeur du terroir ardéchois, avec en toile de fond les conflits mondiaux et les souffrances « collatérales ».

Elle revisite la période des Trente Glorieuses dans laquelle se situe son enfance, son adolescence, une époque où « tout est possible, tout est permis ». Puis les années quatre-vingt à quatre-vingt-dix, les années business. Des portraits de celles et ceux qui ont croisé son chemin, des évènements ponctuent ces époques, ainsi que les enjeux politiques et sociaux qui les traversent, mais toujours avec un regard depuis l’ici et maintenant, où les questions environnementales sont devenue incontournables.

Michèle SOULLIER est native de l’Ardèche où elle vit actuellement, elle a exercé divers métiers, vécu dans différents lieux du globe. Elle écrit depuis de nombreuses années, a participé et animé des ateliers d’écriture. Elle consacre désormais son temps à l’écriture.

(entrée libre et gratuite).

« Elle, août 1957 » de Michèle SOULLIER 18€50

Rébellion féminine au temps de la préhistoire

Un roman choral qui se déroule il y a 35000ans avant notre ère en Dordogne, une jeune fille veut s’émanciper de sa tribu patriarcale.

Une fiction portée par des textes scientifiques et des recherches historiques, qui nous donne du recul sur une thématique éminemment contemporaine, tout en restant corrosive et pleine d’humour.

Les doigts coupés d’Hannelore Cayre, aux éditions Métaillé

192 pages

18€

#VibreLivre

3, 2, 1, partez…

le compte à rebours est lancé pour un tueur en série qui s’en prend aux célébrités danoises.

Suspense garanti jusqu’au bout pour ce polar écrit à quatre mains, avec des rebondissements en cascades qui dénoncent la presse people, ainsi que le monde du spectacle.1,2,3, lisez-le…


Que le meilleur gagne de Thomas Enger et Jorn Lier Horst, traduit du norvégien par Marie-Caroline Aubert, chez Gallimard.

512 pages

21€
#VibreLivre

Comme un monde parallèle…

Le temps s’est arrêté un 18 novembre, sauf pour Tara Selter.

Seule dans son monde, elle expose sa réflexion qu’elle entretient avec le temps, la solitude et le destin. A travers ces descriptions du quotidien qui se répètent on lit l’étrangeté des rituels. C’est une lecture qui aiguise nos sens et nos ressentis.

Le volume du temps tome1 de Solvej Balle, traduis du Danois par Terje Sinding, chez Grasset et Fasquelle

252 pages

18€90

#VibreLivre

Jeudi 7 mars à 19h café littéraire spécial printemps des poètes.

Il faudra des milliers d’années pour que les déchets d’uranium ne soient plus mortels. Il faudra beaucoup plus, avant qu’un poème cesse d’irradier par son silence un lecteur de hasard (le muguet rouge de Christian Bobin).

Jeudi 7 mars à 19h, venez faire le plein de poésie en écoutant des textes choisis par le groupe de lecture; Jeanne Benameur, Christian Bobin, Mireille Fargier-Caruso, Pablo Neruda, Andrée Chédid, Maya Angelou, Jean-Pierre Siméon, etc…Vous pourrez ensuite lire des poèmes de votre choix ou simplement écouter.

(entrée libre et gratuite).