Actualités

A la librairie, ce sont aussi des rencontres avec des auteurs de tous horizons et des ateliers autour du livre et de la lecture.

Jeudi 7 mars à 19h café littéraire spécial printemps des poètes.

Il faudra des milliers d’années pour que les déchets d’uranium ne soient plus mortels. Il faudra beaucoup plus, avant qu’un poème cesse d’irradier par son silence un lecteur de hasard (le muguet rouge de Christian Bobin).

printemps des poetes
printemps des poetes

Jeudi 7 mars à 19h, venez faire le plein de poésie en écoutant des textes choisis par le groupe de lecture; Jeanne Benameur, Christian Bobin, Mireille Fargier-Caruso, Pablo Neruda, Andrée Chédid, Maya Angelou, Jean-Pierre Siméon, etc…Vous pourrez ensuite lire des poèmes de votre choix ou simplement écouter. (entrée libre et gratuite).

(entrée libre et gratuite).


Samedi 30 décembre à partir de 10h, rencontre et dédicace du premier roman de Clémence RENARD.

Dans l’œil de la tempête de Clémence RENARD aux éditions Fugue, 256 pages, 20€
Dans l’œil de la tempête de Clémence RENARD aux éditions Fugue, 256 pages, 20€

A travers les portraits de trois personnages sous l’emprise constante du numérique, Clémence Renard nous les dévoile par le prisme d’une lucarne comme à travers l’œil du cyclone. Elle décrit les ravages de ces dépendances comme l’ouragan qui traverse Chicago… Cette déferlante aux addictions numériques entremêle les émotions de ces personnages avec la nature qui se déchaine.

#VibreLivre


Samedi 16 décembre à partir de 10h, rencontres et dédicaces d’Alice LACOUR et d’Yves PAGANELLI pour leurs derniers ouvrages.

Alice LACOUR dédicacera: « À la croisée de chemins de vies ardéchoises »,un éventail de parcours aux destins multiples souvent entremêlés d’un fil conducteur. Alice Lacour a brossé sur son chemin le portrait d’une trentaine de personnes étonnantes.

Lacour Paganelli Simon
Lacour Paganelli Simon

A la croisée de chemins de vies Ardéchoises d’Alice LACOUR aux éditions du Sac à dos  – 22€

Et
Yves PAGANELLI dédicacera: « Il était une soie« , l’histoire vraie de la soie et de ses routes menant en Ardèche racontée par Yves Paganelli et illustrée par Roland Hours.
Il était une soie d’Yves PAGANELLI et Rolland HOURS aux éditions de la Calade – 14€90


Mardi 07 novembre à partir de 19h, table ronde et discussion sur l’écologie et la résistance

Une table ronde en présence de: Louise POMMERET, auteure de « Dessous la dure écorce », aux éditions de l’Aube; Jean-Marc GHITTI, essayiste, philosophe, auteur d’ »Avec et par delà l’écologie », aux éditions Kime, les éditions de la Lenteur: La subsistance et Florent GOUGET représentant la revue L’INVENTAIRE.

Ecologie et Résistance
Ecologie et Résistance

La table ronde sera suivie d’une discussion avec l’assistance, entrée libre.


Samedi 21 octobre à partir de 10h, signature avec Nicole FAUCON-PELLET pour son dernier ouvrage: « La roue de l’Espan ».

Très jeune, Nicole Faucon-Pellet découvre l’écriture : une passion qui ne la quittera plus. Elle vit aujourd’hui à Saint-Remèze, en Ardèche du Sud.

La roue de l’Espan de Nicole FAUCON-PELLET aux éditions de la Calade, 238 pages,18€50.

« A la ferme de l’Espan, les Mérilhac mènent une vie paisible lorsqu’un événement tragique frappe avec la mort de Nicolas, le dernier né, entrainant la faillite du domaine, la dépression du père et le démantèlement de la famille. Adrien, l’aîné, trouve refuge au Peyrou, une petite maison léguée par son oncle Joseph. De là, hormis les levers de soleil sur le Mont-Ventoux, il observe le ballet des huissiers et la lente dégradation de sa ferme natale. Désirant reconquérir sa dignité et venger ce petit frère injustement puni, il n’a qu’un seul but: réhabiliter l’Espan victime d’une mauvaise réputation. Empruntant des chemins tortueux, obnubilé par son idée fixe, Adrien parviendra à redonner au domaine ses lettres de noblesse.


Jeudi 12 octobre à partir de 19h, rencontre avec Anna DAEM pour son dernier ouvrage: « Méditations des sept directions, en Terra Incognita».

Ce livre objet précieux dans le fond et la forme crée du lien avec l’inconnu et l’imprévu et est avant tout un livre ressource.
A partir d’instants présents, « Je propose d’oser faire commun entre l’homme, l’animal, le végétal et le minéral là où les mots et le silence font lien entre visible et invisible… »
Oserez-vous cheminer à partir de l’infiniment petit vers l’infiniment grand ?
A chacun de découvrir son propre rythme, ses propres battements de cœur, sa propre direction.

Méditations des sept directions en Terra Incognita d’Anna DAEM , 22€

Jeudi 5 octobre à partir de 19h, rencontre avec Yves BICHET pour son dernier ouvrage: « Le premier combat ».

YVES BICHET a été salarié agricole puis artisan du bâtiment pendant, plus d’une vingtaine d’années. Il se consacre désormais entièrement à l’écriture. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, La Part animale, L’homme qui marche et L’été contraire.

le premier combatYVES BICHET a été salarié agricole puis artisan du bâtiment pendant, plus d'une vingtaine d'années. Il se consacre désormais entièrement à l'écriture. Il est l'auteur de nombreux ouvrages, La Part animale, L'homme qui marche et L'été contraire. "Et si, pour assurer à la France un avenir éthique, on s’en remettait à l’Ennuye, fantasque rivière de montagne qui arrose Foncouverte, dans la vallée du Rhône, et sa population en marge ? Sous la menace d’un site nucléaire à la sécurité défaillante et de décisions administratives arbitraires, la petite communauté va se fissurer. Car les autorités refusent d’accueillir Emir, venu de Conakry, interdisent toute transparence sur les accidents de la centrale et chargent les jeunes manifestants au risque de les mutiler. A ces injustices répondra la fougue de gamins cabossés – Emir, donc ; Liseron, qui l’aime mais console Raoult, le héros éborgné – et la déraisonnable obstination de quelques adultes : Canine, infirmière élue à la mairie, et bientôt à la députation ; Corentin, instituteur dont la compagne seconde l’édile, parti batailler contre un exécutif obtus, avec le soutien d’un militaire à la retraite sans langue de bois. Peut-on encore ­espérer du politique sans renverser la table ? Ecouter la nature et en accepter le message sans rompre avec des usages auxquels nul ne croit plus ? Plus que de la fable, Le Premier Combat, d’Yves Bichet, dont on a savouré cet ­hiver La Beauté du geste (Le Pommier), tient du roman d’anticipation, du ­manifeste pour une autre gouvernance, et du plaidoyer pour une refondation démocratique." Le Monde des livres Ph.-J. C. Le Premier Combat d'Yves Bichet aux éditions Le Pommier - 372 pages - 21€
Le Premier Combat d’Yves Bichet aux éditions Le Pommier – 372 pages – 21€

« Et si, pour assurer à la France un avenir éthique, on s’en remettait à l’Ennuye, fantasque rivière de montagne qui arrose Foncouverte, dans la vallée du Rhône, et sa population en marge ? Sous la menace d’un site nucléaire à la sécurité défaillante et de décisions administratives arbitraires, la petite communauté va se fissurer. Car les autorités refusent d’accueillir Emir, venu de Conakry, interdisent toute transparence sur les accidents de la centrale et chargent les jeunes manifestants au risque de les mutiler. A ces injustices répondra la fougue de gamins cabossés – Emir, donc ; Liseron, qui l’aime mais console Raoult, le héros éborgné – et la déraisonnable obstination de quelques adultes : Canine, infirmière élue à la mairie, et bientôt à la députation ; Corentin, instituteur dont la compagne seconde l’édile, parti batailler contre un exécutif obtus, avec le soutien d’un militaire à la retraite sans langue de bois. Peut-on encore ­espérer du politique sans renverser la table ? Ecouter la nature et en accepter le message sans rompre avec des usages auxquels nul ne croit plus ? Plus que de la fable, Le Premier Combat, d’Yves Bichet, dont on a savouré cet ­hiver La Beauté du geste (Le Pommier), tient du roman d’anticipation, du ­manifeste pour une autre gouvernance, et du plaidoyer pour une refondation démocratique. » Le Monde des livres Ph.-J. C.


Samedi 30 septembre à partir de 10h, rencontre avec Alice Lacour pour son dernier ouvrage « A la croisée de chemins de vie ardéchoises ».

Un éventail de parcours aux destins multiples souvent entremêlés d’un fil conducteur. Alice Lacour a brossé sur son chemin le portrait d’une trentaine de personnes étonnantes.

A la croisée de chemins de vies Ardéchoises d'Alice Lacour
A la croisée de chemins de vies Ardéchoises d’Alice Lacour aux éditions du Sac à dos – 22€

Peut-être les connaissez-vous ? Les avez-vous croisées ? Ouvrez l’ouvrage, tournez les pages, goûtez à ce breuvage infusé par les mots. Cachées de-ci, de-là, quelques dates anniversaire sur cette année 2023. Découvrez-les…


Jeudi 21 septembre à partir de 19h, présentation de notre rentrée littéraire.

Rentrée littéraire

Accompagné du groupe de lecture de la librairie, nous vous présenterons nos coups de coeur de la rentrée littéraire.


Jeudi 14 septembre à partir de 19h, rencontre avec Frédéric Ploussard pour son dernier ouvrage « Tout blanc ».

Frédéric Ploussard

Lectures, signatures et rencontre avec Frédéric Ploussard l’auteur de « Tout blanc » et « Mobylette ».

Tout blanc de Frédéric Ploussard, aux éditions Héloïse d’Ormesson – 320 pages – 20€
Mobylette de Frédéric Ploussard, chez Pocket – 448 pages – 9€

Jeudi 7 septembre à partir de 19h , rencontre/lecture et signature avec Mireille Fargier-Caruso pour son recueil de poésie «Vivre».

Vivre de Mireille Fargier-Caruso

Elle dit l’absence que l’on tente d’apprivoiser, la conscience aiguë de nos limites, le réel qui nous rattrape. Elle dit les paysages de l’enfance, ce territoire si proche où parfois l’on s’égare. Elle dit le visage qui vieillit dans le reflet du miroir. Surtout, elle s’interroge : « où vont les notes les arpèges ? les instants d’avant ? nos utopies échouées dans la boue ? ». Mais malgré les doutes et l’inquiétude face aux jours éphémères, la « vraie joie » est toujours possible. Et dans les moments d’amour, quand « mourir alors n’a plus la même importance », la poésie devient le lieu où s’exprime notre  » désir fou de durer », et la langue cet espace qui nous permet de rassembler tous les âges d’une vie pour enfin « transmettre la ferveur faute d’éternité». Une invitation à creuser chaque jour qui passe, pour y trouver la lumière.

Vivre de Martine Fargier-Caruso aux éditions Bruno Doucey – 96 pages – 15€

Samedi 26 août de 10h à 12h, rencontre avec Mario Morisi pour son dernier ouvrage « Traité de savoir où ».

« Ce n’est ni une autobiographie, ni une autofiction mais tout est réel. Chaque texte est écrit par un alias. Une sorte d’autre moi. Désormais tous sont revenus… » observe, amusé mais avec le sens de la formule qui le caractérise, l’ancien journaliste.

Mario Morisi

L’ouvrage prend tour à tour des tonalités poétiques, surréalistes, explosives, parfois plus spirituelles. Ou encore nostalgiques comme le conte d’enfant du premier chapitre, courte nouvelle d’introduction.Bref, un savoureux recueil de « volontés discordantes », et des nombreuses contradictions existentielles qui nous habitent tous, plus ou moins…

Traité de savoir où de Mario Morisi
« Traité de savoir où » de Mario Morisi, aux éditions Souffle Court. 240 pages – 20€

Samedi 19 août de 10h à 12h, rencontre avec Yves Paganelli pour son dernier ouvrage « Il était une soie ».

L’histoire vraie de la soie et de ses routes menant en Ardèche racontée par Yves Paganelli et illustrée par Roland Hours.

Il était une soie
Il était une soie

« Il était une soie » d’Yves Paganelli et illustrée par Roland Hours, aux éditions de la Callade. 14€90 €


signature samedi 12 aout avec Alain Chevalier

Samedi 12 août de 10h à 12h, rencontre avec Alain Chevalier pour son dernier ouvrage: » Yokosuka, à l’ombre du Japon moderne: Léonce Verny ».

Septembre 2015. Au cours d’une réunion de quelques amoureux de l’histoire locale d’Aubenas Alain Chevalier a été interpellé pour présenter la vie de son arrière-grand-père, Léonce Verny, à l’occasion du 150e anniversaire de la fondation de l’arsenal de Yokosuka situé un peu au sud de Tokyo et Yokohama…

Dans la continuité de l’exposition qui fut présentée, Alain Chevalier publie avec les Amis de la bibliothèque de Polytechnique un album remarquablement illustré sur l’impact de cette fondation dans l’histoire du Japon et des relations internationales. Cette publication a reçu un très bon accueil à l’École polytechnique, l’Académie de Marine, les Musées nationaux de la Marine et dans les réseaux de l’Armement.

Alain Chevalier

« Yokosuka à l’aube du Japon moderne : Léonce Verny » d’Alain Chevalier. Préfaces du Président de Polytechnique et du maire de Yokosuka,
postface du Maire d’Aubenas

160 pages couleur au format paysage A4.

Prix public : 32 €.


Signature samedi 5 aout avec Liliane Gimbert

Samedi 5 août de 10h à 12h, rencontre avec Liliane Gimbert pour son dernier ouvrage, un polar ardéchois:  » Elle plantait des arbres ».

Près de la Loire, la maison du pont de Laborie a rouvert ses volets, rachetée par deux jeunes gens Augustin et Anna. Sous les arches construites depuis plus d’un siècle, les guerres ont passé, le batelier n’est plus de ce monde, et les meules du moulin se sont tues. Pourtant, les âmes des disparus ont imprégné les pierres. Et le corps d’un homme, échoué sur le sable de la rivière, réveille les fantômes…

Elle plantait des arbres
Elle plantait des arbres

… »Elle plantait des arbres » oscille entre polar écologique et récit historique. Un roman qui se veut le reflet de notre société, tiraillée entre modernité et enjeux environnementaux.

Liliane Gimbert

« Elle plantait des arbres » de Liliane Gimbert, aux éditions de la Calade.

142 pages – 17€50

Signature Benoît Pastisson le samedi 29 juillet

Samedi 29 juillet de 10h à 12h, rencontre avec Benoît Pastisson pour son dernier ouvrage « Fariboles et Balivernes ».

Ces 365 histoires sont à lire dans l’ordre ou le désordre : une par jour ! Certaines donnent un regard à la fois amusé et décalé sur notre époque, d’autres saisissent des instants insolites surpris dans la rue ou des situations tordues que nous vivons sans y prêter attention. Elles décortiquent ce que nous ne voyons pas, elles grattent l’inattendu, elles surprennent en fouillant l’improbable.

BenoitPastisson
BenoitPastisson

Voici quelques exemples pris au hasard : on découvre pourquoi Rostropovitch aurait mieux fait de ne jamais être connu, l’étonnante origine du mot « avocat », une façon inhabituelle de casser un œuf dur, un texte quasiment impossible à apprendre pour un comédien, le moyen de traverser Paris en paquebot, la raison pour laquelle les parapets ardéchois ont le dessus arrondi, le pays qui détient le plus de prisonniers au monde. On est surpris du point commun qui unit Cyrano de Bergerac et Dracula. On apprend quelle utilité donner aux bouchons des valves des chambres à air de vélos. On trouve aussi un regard amusé sur la façon dont les relations entre les hommes et les femmes évoluent.
Chacun se remémorera avec émotions des situations vécues et malheureusement oubliées, des détails disparus mais tellement importants, des instants de vie magnifiques que nous rencontrons sans toujours les remarquer. Dans ce livre, tout est vrai, surtout ce qui est faux.

Fariboles et Balivernes, de Benoît Pastisson, aux éditions du Châtaignier. 378 pages – 20€

Les samedis d’été

Xavier Boissel à la librairie le samedi 22 juillet
Signature de Xavier Boissel
Article de Fabrice Bérard paru dans le Dauphiné du 23 juin 2023

Samedi 24 juin, en matinée: dédicace de Jean-Marc Ghitti pour son dernier ouvrage philosophique « Avec et par delà l’écologie : la Camargue ».

.Jean-Marc Ghitti est un philosophe, romancier et poète français d’origine italienne. Il vit et enseigne la philosophie en Haute-Loire.Cet essai de philosophie définit l’écologie comme l’engagement pour sauver la Terre, lieu par lieu. Par souci du concret, il se consacre à la Camargue, en tant qu’elle est à la fois un pays menacé par le réchauffement climatique et l’exemple d’une réussite de l’écologie française. Sur ce cas singulier, il oppose l’écologie et la politique : il n’y a pas d’écologie politique. Sur fond de la crise de la représentation politique, il élabore autrement le concept de représentation. Il propose une écologie élargie, complète, entre anthropologie générale, théologie et psychanalyse. Avec et par delà l’écologie, il soutient qu’on ne peut sauver chaque lieu de la Terre que si on leur rend leur pleine valeur. Aussi l’écologie doit-elle s’appuyer sur une poétique de la célébration des pays et sur une réévaluation de la littérature. C’est pourquoi cet essai étudie la Camargue à travers ses représentations littéraires chez Mistral, Barrès, Baroncelli et Montherlant. Dans ce corpus poétique de la Camargue, le présent essai dessine le partage entre la politique et l’écologie. Il met particulièrement en évidence la figure de Folco de Baroncelli comme celle d’un guide et d’un précurseur d’une écologie d’avenir, à la fois concrète et spirituelle. Il s’efforce de tenir ensemble une enquête monographique sur l’histoire écologique d’un pays aimé de tous et une construction conceptuelle générale, pertinente pour tout autre lieu. * Le corps du texte se présente comme une succession de paragraphes dont le titre indique le concept général mis au travail. La méditation se construit au fil d’une étude des œuvres littéraires qui servent d’appui. Ce corps principal de la recherche est enserré entre une introduction et une conclusion évoquant la catastrophe qui menace la Camargue, notre objet d’étude. Enfin, l’ensemble est précédé d’un préambule et suivi d’un épilogue qui posent les questions les plus générales de notre approche philosophique.

Avec et par delà l'écologie : la Camargue
Avec et par delà l’écologie : la Camargue recto imprimer Remarques UNIMARC Avec et par delà l’écologie : la Camargue Avec et par delà l’écologie : la Camargue imprimer Remarques UNIMARC Avec et par delà l’écologie : la Camargue Avec et par delà l’écologie : la Camargue

« Avec et par delà l’écologie : la Camargue » de Jean-Marc Ghitti, aux éditions Kimé.

150 pages

20€

La librairie sera exceptionnellement fermée le mercredi 7 juin de 9h30 à 12h30.

Exception qui confirme la règle: Le prochain café littéraire aura exceptionnellement lieu le premier vendredi du mois (et non le jeudi), soit le vendredi 5 mai à 19h, venez rencontrer Steve Wilifrid Mounguengui pour son dernier ouvrage: « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde ».

Rencontre du 6 mai 2023 avec Stève Wilifrid Mounguengui

Stève Wilifrid Mounguengui quitte le Gabon et arrive en France à l’âge de 25 ans pour faire des études de philosophie. Avant de partir, il dit à sa mère qu’un seul mot d’elle pourrait le faire rester au Gabon, mais elle insiste : « Pars mon enfant, pars aussi loin que possible. Reste là-bas, l’essentiel est de réussir à vivre. Peu importe l’endroit où tu vis… Promets-moi que tu ne reviendras pas. Promets-moi. Quand tu pleureras de France je t’entendrai.» Il ne la reverra jamais, morte au pays avant qu’il ne puisse y revenir. À défaut de pouvoir enterrer sa mère, le poète lui construit un tombeau de mots.
Depuis toujours, Stève Wilifrid Mounguengui rêvait de la France, découverte à travers ses lectures innombrables, comme celles de Marcel Pagnol dont les paysages lui rappelaient ceux de Mouila, sa ville natale. « Lui aussi chassait comme moi, lui aussi avait un père bon instituteur et piètre chasseur du dimanche. Lui aussi habitait le château de sa mère.» D’une vaste écriture poétique, il parle de son arrivée en banlieue parisienne, de la façon dont il écrit, le matin à l’aube, dans le RER, lorsqu’il se rend au travail. Il raconte, comme un paradis perdu mais toujours enchanteur, son enfance au Gabon auprès de ses parents et de ses frères et sœurs, l’enfant des champs, l’étendue des plaines en lui, le chant des oiseaux, la lueur des lucioles… autant de tableaux somptueux d’une enfance simple auprès d’une mère courage, personnage charismatique et généreux, qui s’oublie pour faire le bien autour d’elle.

A bientôt

Rencontre du 06 avril avec Yves Bichet pour son ouvrage: « La beauté du geste ».

On parle de nous au 19/20 National de France 3 du mardi 14 mars et France Info:

https://www.francetvinfo.fr/france/auvergne-rhone-alpes/ardeche/ardeche-les-librairies-independantes-fleurissent_5711573.html

Rejoignez-nous le 18 et 19 mars au carrefour Européen du 9ème Art et de l’image à l’espace Lienhart à Aubenas.

Au programme: dédicaces; expositions; ateliers, mais aussi projection au cinéma le Navire et concert à l’Agora.

affiche festival BD 2023
affiche festival BD 2023

La librairie vous proposera tous les livres des auteurs présents…

à bientôt.

Renseignements: https://www.facebook.com/aubenasBD

Ouverture d’un café littéraire à la librairie.

Dès le jeudi 2 février à 19h et chaque premier jeudi du mois, venez partager vos lectures ou venez simplement écouter les lecteurs en buvant une tisane, ou un tonic avec une collation, suivant l’humeur (entrée libre).

Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.

Le vendredi 20 janvier à 19h30 à la librairie,

nuitDeLaLecture23

venez participer à la nuit de la lecture , entrée libre ouverte à toutes et à tous, venez partager un moment convivial autour de textes lus ou écoutés ayant comme thématique la peur!

Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.

Nuit de la lecture du 20 janvier 2023

Le vendredi 23 décembre en matinée, rencontre dédicace avec Jean Tirelli qui viendra nous présenter son dernier ouvrage,

Jean Tirelli a vécu durant quinze années dans les vallées perdues de l’Ardèche méridionale.

photo_Jean_Tirelli
photo_Jean_Tirelli

Il y est arrivé en 1976 emporté par la deuxième vague d’immigration d’une jeunesse folle et joyeuse qui voulait vivre autrement. Après de nombreux chambardements dans sa vie, il finit ses études à Aix en Provence et exerça comme psychologue dans des institutions pour enfants et pour personnes âgées. Durant douze années il fut maire d’une petite commune de la moyenne montagne ardéchoise.

Crimes dans le Cévenol Express

Le vendredi 16 décembre en soirée rencontre et dédicace avec Corinne Morel Darleux pour La sauvagière(Editions Dalva).

Elle se souvient comme dans un rêve de l’accident, du choc sur l’asphalte. Quand elle reprend connaissance, elle est loin des sollicitations constantes de la ville et de son agitation, à l’abri d’une maison forestière nichée au cœur des montagnes.

À ses côtés, Jeanne, Stella et la forêt profonde. On parle peu ici. Mais tout semble bruisser, se mouvoir et palpiter d’une force étrange et magnétique. Ses deux compagnes et la nature alentour se confondent parfois, comme pour mieux l’initier à une autre manière d’être, instinctive et animale. S’en aller, enfin… La Sauvagière est une fable onirique qui nous invite à repenser le lien qui nous unit au monde, loin des constructions et des contingences modernes. Page après page, dans ce premier roman, Corinne Morel Darleux nous plonge dans un univers puissamment poétique où les sens deviennent maîtres et où notre humanité se métamorphose au contact du bois humide et sous les caresses du vent. La langue que déploie l’autrice est le miroir du cheminement de la narratrice : la finesse du vocabulaire rend compte de la richesse des sensations qu’elle découvre une fois libérée du poids de la normalité qu’elle voulait tant fuir. Médiapart.

Le samedi 10 décembre en matinée, rencontre et dédicace avec François Riffard pour L’ange écoute (Éditions de l’Harmattan):

François Riffard


Dans L’Ange écoute, François Riffard, peintre et poète de toutes les heures, se livre à un exercice spirituel. Son recueil en triptyque rend compte d’un combat sans trêve. Des puissances s’affrontent dont la plus barbare est celle du passage inexorable du Temps qui enterre l’enfance, les rites, les civilisations et laisse méconnaissable la ville des rêves anciens. De ces batailles perdues reste le souvenir poignant des avenues disparues et des cérémonies surannées. Mais L’Ange demeure l’allié virginal qui accompagne le peintre dans sa haute retraite. Au poète infatigable, il insuffle la pure musique. Dominique-Pierre Beaufay.

ce samedi 10 décembre en matinée, rencontre et dédicace avec Simon Bugnon pour Conversations silencieuses: au cœur de l’Ardèche sauvage (Éditions Hozhoni):
En décrivant son approche et sa vie de photographe naturaliste, Simon BUGNON affirme dans ce livre intimiste qu’une autre attitude à l’égard de la nature est devenue un impératif pour la survie du monde. Tout en se dévoilant pudiquement, il nous convie à un voyage poétique dans un univers caché et infini, celui des herbes, des abords de ruisseaux, des monts et des cascades de l’Ardèche sèche jusqu’aux plus hauts plateaux parcourus par la burle glacée…Derrière les images glanées lors de ses cueillettes photographiques, on devine le temps passé en silence à honorer des rendez-vous impromptus avec un éclat de lumière ou d’êtres qui habitent le monde autrement que nous.Le photographe a laissé s’éloigner les rêves de contrées lointaines pour fréquenter avec assiduité l’Ardèche sauvage afin d’en percer les plus beaux secrets en réapprenant sans cesse à regarder et à admirer.Un livre somptueux sur l’émerveillement qui est aussi un ouvrage de réflexion nourri de citations ciselées, enrichi par la plume de Solenne MULLER, naturaliste inspirée qui fait offrande de neuf excursus délicats.

Conversations Silencieuse

A bientôt!

Samedi 26 novembre, en matinée: rencontre et dédicace avec Alice Lacour

Alice Lacour

La plume d’Alice est joueuse. Dans un foisonnement de mots et de maux, comment va-t-elle mener l’intrigue? A l’orée de l’automne… Que s’est-il passé dans le coeur du village de Vogüé, dans les entrailles du vieux château?

Le mardi 22 novembre à 19h, présentation de la revue l’inventaire avec Florent Gouget.

Florent Gouget, professeur de lettres en Ardèche et membre de la rédaction de la revue: l’inventaire est une revue de critique sociale dont le premier numéro est sorti en novembre 2014.

Prochaine rencontre à la librairie du château:

Chacun peut constater que la part de la vie qui échappe aux rapports marchands, aux procédures industrielles et administratives et à l’appareillage technologique se réduit à presque rien. Il est de plus en plus difficile d’imaginer comment acquérir la maîtrise de nos conditions d’existence : la satisfaction de nos besoins, nos liens avec autrui, les lieux que nous habitons, les activités que nous choisissons ou subissons, les objets qui nous entourent. Face à cette situation, le comité de rédaction de L’Inventaire s’efforce de contribuer à l’élaboration d’une culture critique commune, en diffusant d’anciennes idées, portées par la meilleure part des courants libertaire et écologique, et en en proposant de nouvelles, sous toutes les formes et concernant tous les thèmes qui nous semblent pertinents : du texte documentaire à la littérature, des méfaits de l’informatisation à la disparition des langues vernaculaires. Par la publication de productions originales, de textes d’auteurs méconnus ou mal lus, de traductions et de contributions extérieures, nous espérons faire de cette revue un espace d’échanges et de débats, dans une perspective d’inventaire. Nous étouffons sous le monde que nous avons édifié ; il nous faut absolument arrêter l’emballement et faire le tri de ce qui, dans la vie pratique, le monde matériel et les idées, doit être conservé, reconsidéré ou écarté pour favoriser l’émancipation individuelle et collective.

logo l'inventaire
logo l’inventaire

Du 17 au 20 novembre à la Librairie du Château.

donnez à lire
donnez à lire

participez à l’opération de solidarité du Secours Populaire « Donnez à lire »: vous choisissez un livre jeunesse dans la librairie, vous l’ajoutez à vos achats, ensuite le livre sera offert à un enfant accompagné par le Secours Populaire.

Le jeudi 15 septembre de 18h à 19h, vous êtes invité.e au pot de rentrée proposé par Valérie Grégis Gusella,

Vous avez déjà participé aux ateliers d’écriture ou aux ateliers de lecture à voix haute?
Vous êtes intéressé.e par les ateliers d’écriture ou de lecture à voix haute? Vous souhaitez partager avec les participants et/ou obtenir des informations relatives aux ateliers?

Autour d’un verre, nous échangerons en présence des « anciens » sur les différents ateliers, nous accueillerons les « nouveaux » et nous vous accueillerons, vous, qui serez juste de passage pour boire un coup et glaner quelques infos… au cas où!
Pour découvrir en amont les prestations de l’association, rendez-vous sur le site www.encorpsentete.com

Le samedi 6 aout en matinée, rencontre et dédicace avec Xavier Boissel pour son dernier polar: « Sommeil de cendres » aux éditions 10/18.

Xavier Boissel

Paris, janvier 1974. Alors qu’une tempête s’abat sur l’Europe occidentale, la police judiciaire parisienne découvre le cadavre d’un homme sur l’échangeur du périphérique de la porte de Bagnolet. La victime, un étudiant maoïste issu d’une bonne famille, a été torturée et mutilée. L’enquête est confiée à l’inspecteur Eperlan. Dans les pas du jeune homme, Eperlan ira d’une luxueuse villa du Vésinet, aux cercles de jeux de la capitale, en passant par le campus de Vincennes, haut lieu du gauchisme.
Une jeune femme apparaît bientôt dans le sillage du cadavre : l’énigmatique Alexia Zorn, qui vient tout juste de fuir Paris, deux tueurs de la pègre à ses trousses. D’autocar en autostop, munie d’un Browning et d’un sac bourré de billets, elle rejoint les Cévennes ardéchoises. Dans ce paysage de neige perdu au milieu des montagnes, elle tente de se mettre au vert, avec pour seule compagnie intermittente un vieux paysan bourru.
Au coeur de ce tableau enneigé se tapit le menaçant Müll, homme du SAC (Service d’Action Civique), tout juste rentré du Maroc avec un chargement de cocaïne.
Ces trois destins sont inexorablement mêlés. Pour Eperlan, la question reste de savoir comment. Et jusqu’à quand.

288 pages

14€90

Le samedi 30 juillet en matinée, rencontre et dédicace avec Benoît Patisson pour Chronique du monde d’après (Editions Ma bastide)

Monsieur Benoît Pastisson

Lire une de ces chroniques chaque matin au réveil permet d’aborder la journée en mettant un peu de piment dans son plaisir d’être. Mais attention aux estomacs fragiles: certaines de ces histoires sont fortement acidulées.

Chronique du monde d’après de Benoît Pastisson aux éditions de ma Bastide

255 pages

15€

Le jeudi 9 juin à 19h: rencontre et dédicace avec Hélène Goninet pour Journal d’une sage femme nature (Mama Editions), elle sera accompagnée du groupe de lecture à voix haute de l’association En corps en tête.

« Journal d’une sage-femme nature, accueillir la vie autrement », ce livre peut se déguster, histoire après histoire, en vous offrant quelques pages de plaisir de temps à autre. Il peut également se dévorer, épris par cette puissante énergie de la Naissance. Il sera une aide précieuse et ressourçante pour les couples en projet ou en attente d’enfants, mais pas seulement !

Car nous sommes tous concernés par la naissance, nous sommes tous nés un jour du ventre, d’une femme. Cet ouvrage est avant tout un témoignage de VIE.

Hélène Goninet

Sage-femme, au cœur de l’intimité des femmes et des familles, Hélène Goninet a passé une partie de sa vie à explorer et accompagner ce passage, à la fois essentiel et universel, unique et « commun », extraordinaire et ordinaire. Arrivée pour remplacer durant 6 mois Jacqueline, sage-femme en invalidité temporaire suite à un accident de voiture, l’Ardèche l’a finalement adoptée. Hélène y est restée, sillonnant ses routes de long en large, s’échappant parfois dans le Gard, la Lozère ou la Haute-Loire, appelée au domicile de femmes, de couples, de familles souhaitant donner la vie simplement. Dans une démarche innovante et sans passéisme, avec leurs compétences humaines, leur amour, leur confiance, leur puissance, sans artifices technologiques, les femmes sont capables des plus beaux exploits ! Merveilleuses histoires émouvantes lovées dans une nature exceptionnelle. Ce journal, « trésor pour ce putain de XXIème siècle » suivant une lectrice conquise, questionne profondément l’évolution de la médicalisation de l’enfantement, sa protocolisation et ses conséquences sur le vivant, loin d’être anodines.

Journal d’une sage femme nature, accueillir la vie autrement d’Hélène Goninet

aux édition Mama, 25€

Rencontre le jeudi 7 avril à 19h avec Tom Charbit pour son livre Les sirènes d’Es Vedra (Roman/Seuil), il sera accompagné du groupe de lecture à voix haute de l’association En corps en tête.

Pendant vingt ans, Juan Llosa a fait danser la planète. Toujours entre deux avions, deux soirées, deux gueules de bois, le vibrionnant DJ des Sirènes d’Es Vedra a vécu « deux décennies d’exil et d’excès ». Capable de devancer les désirs du public, de « l’amener à un endroit où il n’aurait jamais pensé aller », il est considéré comme « un esthète du mix, un virtuose des platines ». Est-ce parce que la pandémie a rendu rares les occasions de faire la fête et quelque peu anachroniques les évocations de grandes communions musicales ? Les mots et les rythmes du premier roman très abouti de Tom Charbit résonnent chez le lecteur avec une intensité remarquable. Mais gageons plutôt que la mélancolie puissante qui se dégage de ce texte tient surtout à la lucidité, à la fois tendre et impitoyable, toute d’autodérision, avec laquelle le héros du roman examine sa vie de « fêtard invétéré » et tente de s’inventer un avenir.

Lorsque le lecteur fait sa connaissance, le narrateur a trouvé refuge, en plein hiver, dans un village ardéchois. Contraint de s’éloigner des dancefloors pour soigner ses acouphènes, il goûte difficilement la sobriété des lieux. Il lui faut bien admettre que sa « solide expérience de la fête est une compétence assez peu recherchée » hors du monde de la nuit. Et que sa capacité à expliquer « dans n’importe quelle langue et à n’importe quel point du globe [qu’il a] besoin d’une bière fraîche et d’un gramme de cocaïne » ne suffira pas à lui ouvrir les portes de la sociabilité villageoise. Le roman de Tom Charbit n’est pourtant ni un récit branché sous psychotropes, célébrant d’un air faussement désabusé les nuits sans fin d’Ibiza ou de Berlin, ni une satire du roman néorural. Plutôt l’évocation d’une crise de milieu de vie, qui prend au sérieux la question du sens de la fête et la laisse entrer en écho avec les blessures de l’époque.

Le romancier s’empare d’une thématique prétendument futile et en explore avec finesse les profondeurs. Comme Ulysse se laissant séduire par le chant des sirènes, dont il connaît pourtant les dangers mortifères, son narrateur tente de trouver un moyen terme entre l’énergie créatrice à l’œuvre dans la fête et les risques attachés à ses excès. Ce qui aurait pu n’être que le récit d’un malaise existentiel devient, sous la plume aiguisée de Tom Charbit, un roman aussi ample que bouleversant, où l’amour et la mort jouent chacun leur partition sans que l’on sache quelle pulsion mène véritablement la danse(…).

Florence Bouchy, du Monde.

Le Monde
              (@lemondefr) / Twitter

Lecture et signature de Panoptica le 21 janvier à la Librairie du Château (Aubenas) à partir de 18:00.

Angelo Della Spiaggia sera présent à la Librairie du Château pour présenter son livre: Panoptica, à la découverte de la mécanique générale.

livre-panoptica-DellaSpagia
livre-panoptica-DellaSpagia


Panoptica est un roman en forme de robinsonnade moderne. Naïf omniscient, son héros court le vaste monde à la recherche de réponses.
Angelo Della Spiaggia, Homo Sapiens Sapiens en diable, n’a de cesse de penser et de penser qu’il pense. Sur son chemin hasardeux, un rien l’interroge et il cultive sa manie de tout vouloir théoriser. Sa route croise une galerie étonnante de personnages qui, chacun à leur façon, infléchissent sa trajectoire et modifient sa vision du monde.

On ne sait pas grand chose sur l’auteur, Angelo della Spiaggia. Italien peut-être, peut-être pas ; cela n’a sans doute pas d’importance.
Ce que l’on sait, c’est qu’il a mis dix années à écrire ce roman où son héros (qui porte étrangement son nom, mais dans une version administrative) lui sert de véhicule tout terrain pour explorer des territoires aussi divers que la mondialisation, la musique, la peinture, le langage, la folie, la peur, le pouvoir, le tourisme, le paysage, la croyance et bien sûr l’amour. Tout y passe pourrait-on dire, mais c’est avant tout de littérature qu’il est question.

Panoptica, A la découverte de la mécanique générale d’Angelo Della Spiaggia, aux éditions Des Mauvais Sauvages.378 pages
23€

Le jeudi 13 janvier en soirée: rencontre et lecture avec Michèle Soullier pour son premier ouvrage: « Figures et figurants, rencontres de parloirs. »

En soirée à partir de 19h, à la librairie, Michèle Soullier nous présentera son livre: « Figures et figurants, rencontres de parloirs. Un témoignage touchant sur son expérience de visiteuse de prison, elle sera accompagnée du groupe de lecture à voix haute de l’association En corps en tête.

Figures et figurants, rencontres de parloirs
Figures et figurants, rencontres de parloirs

« La prison en tant que visiteuse, ce sont des rencontres avec des personnes dont je n’aurais sans doute jamais croisé le chemin sans cette démarche. Une aventure humaine qui n’a rien à voir avec une quelconque intention de sauver des êtres en perdition. Ça ne se situe pas sur ce registre-là. Non, ma motivation, c’est plutôt le gout de l’altérité, cette différence qui nous enrichit, nous fait bouger dans nos certitudes. Des tranches de vie se racontent, des visions du monde s’échangent, sans vouloir convaincre, sans chercher à savoir qui a raison ou tort, une invitation à évoquer ce qui pèse, à le formuler, l’entendre autrement, et parfois en rire.
Michèle Soullier réside en Ardèche, à Aubenas. Elle a été visiteuse de prison dans une maison d’arrêt de 2014 à 2019 ou elle a animé des ateliers d’écriture. Elle a une longue pratique de l’écriture comme hobby, notamment dans le cadre d’ateliers. » Les éditions Baudelaire

Le samedi 18 décembre en matinée: rencontre et dédicace avec Zarina Khan et Fréderic Ploussard pour leurs derniers ouvrages .

Zarina Khan présentera son dernier ouvrage aux éditions Jacques Flament: « Réenchantons le monde! ».

Réenchantons le monde!
Réenchantons le monde!

QUATRIÈME DE COUVERTURE…
« Drôle d’espèce que celle des êtres humains, qui a migré et colonisé pratiquement tous les continents et perturbé son propre habitat. Au nom du mieux être de quelques-uns, elle a réquisitionné les ressources et les terres, et mis en péril avec un acharnement constant des millions d’êtres vivants et nous-mêmes.
Cette histoire vous la connaissez, elle est la nôtre, celle de chacun, mais si je la rappelle c’est parce qu’elle fonde la guerre, toutes les guerres, et que bien au-delà des guerres, ces dérives mettent en péril toutes nos aspirations à la paix. »

66 pages – 7€

Et, Fréderic Ploussard présentera son premier ouvrage : « Mobylette ».

Mobylette de Fréderic Ploussard

Humour décapant!
Un premier roman qui se passe dans le « Texas lorrain » des années 90. 
Un homme né trop grand dans la mauvaise famille est éducateur spécialisé pour mineurs en difficulté. 
Un « roman social » qui raconte une suite de péripéties loufoques mais pleines de dérision dans un langage cru, une écriture innovante et une histoire pleine d’humanité.

« Mobylette » (Prix Stanislas du meilleur premier roman 2021) de Frederic Ploussard, chez Heloise D’ormesson.
408 pages – 21€

#VibreLivre

Le samedi 11 décembre en matinée: rencontre et dédicace avec Pierre Présumey pour ses derniers ouvrages .

Pierre Presumey nous présentera ses derniers ouvrages: « L’écossais » et « En personne – rencontres animales », aux éditions d’Hauteur d’homme, ainsi que: « le chant de l’ours » chez Boréalia, pour sa participation à la traduction.

Pierre Presumey

« Dans une petite localité, nommée Le Monastier, sise dans une agréable vallée de la montagne, j’ai passé environ un mois de journées délicieuses. » Ainsi commence en Haute-Loire, Voyage avec un âne dans les Cévennes, puis très vite, Robert Louis Stevenson, s’éloigne avec l’ânesse Modestine. Le présent roman reconstitue son séjourà l’hotel de Madame Guitte, gardé par un perroquet, où le voyageur de 28 ans à la fin de l’été 1878 dort et prend ses repas. Ses interlocuteurs sont un conducteur de ponts et chaussées, un ingénieur et un clerc de notaire, chacun représentant une opinion politique. Trois femmes tiennent l’établissement, dont Fonsine, 16 ans, qui a appris à lire et à écrire avec la béate du village (célibataire chargée de l’instruction religieuse des enfants) et se passionne pour les misérables. L’auteur procède avec l’intime connaissance de la région et la poésie de l’imagination, « dans ce récit tout est inventé, même ce qui est vrai ». Et il montre comment l’Ecossais est confronté à la coexistence de la langue d’Oc et de la langue française.

CLD. (Article paru dans Libération le 9 et 10/10/2021.

L’écossais de Pierre Presumey

Epique Carélie.

La langue vepse – idiome d’un peuple vivant en Carélie dans le nord-ouest de la Russie – compte moins de 4 000 locuteurs. Pourtant ce peuple a beau être minuscule, il possède des traditions et une littérature essentiellement orales. Le texte que l’on trouve ici est une tentative récente pour empêcher sa disparition. Il est dû à Nina Zaîtséva, poète et linguiste, qui a réuni des éléments disparates du folklore en un récit épique, cohérent et beau. Une histoire d’amour et dexploits, riches en péripéties, comme il convient aux épopées populaires, mais dont l’intérêt principal est l’étonnante symbiose entre l’humain et la forêt, son habitat naturel et l’élément central de sa représentation du monde. A l’élégante traduction française réalisée à quatre mains s’ajoutent les illustrations originales d’un artiste estonien et un magnifique savoir-faire éditorial. Un régal…

Balzamo Elena(Article du Monde des Livres du 5/11/2021)

Le samedi 13 novembre en matinée: rencontre et dédicace avec Jean-Marc Ghitti pour son dernier ouvrage Passage et présence de Simone Weil.

Jean-Marc Ghitti est professeur agrégé et auteur d’une thèse sur la question du lieu, dont sera tiré son premier ouvrage : La parole et le lieu, Minuit, 1999. Depuis lors, il poursuit un travail multiforme, dans des essais et quelques écrits littéraires, sur l’inspiration, la voix, mais aussi sur des problématiques morales et politiques (notamment aux éditions du Cerf). Il vient de publier un ouvrage sur Simone Weil : Passage et présence de Simone Weil, Paris, Kimé, où il présente la pensée de la philosophe à travers une méditation sur les lieux où elle a vécu.
Si le plus grand philosophe français du vingtième siècle était une femme, ce serait Simone Weil (1909-1943). Sa pensée, d’une grande profondeur mais très lisible, est indissociable de sa courte vie mêlée aux grandes tragédies de l’entre-deux guerres et de la défaite française de 40.
L’essai de Jean-Marc Ghitti évoque le passage de Simone Weil au mas Libian (Saint-Marcel-d’Ardèche), chez les Thibon, où elle voulait vendanger. Victime des lois antisémites, elle se retrouve en 1940 à Marseille en attendant un bateau qui la conduira en Amérique, puis à Londres aux côtés de la France Libre où elle mourra.
Depuis Marseille elle rejoint le domaine viticole où elle vivra l’une des périodes les plus heureuses de sa vie, riche en anecdotes. Elle y réfléchit à la condition paysanne et aux mutations de l’agriculture. La rencontre entre Simone Weil et la réalité sociale et mentale ardéchoise nous apprend beaucoup aussi bien sur la philosophe que sur le milieu viticole qui l’accueille.
Le livre de Jean-Marc Ghitti est une introduction à la vie et à l’ensemble de la pensée de Simone Weil à travers les différents lieux où elle a vécu, du Puy-en-Velay jusqu’à Londres.

Le 28 octobre à 19h: lecture et dédicace avec Julien Delmaire

Né en 1977, Julien Delmaire est romancier, poète et slameur. Ses romans sont publiés chez Grasset.
Le premier Georgia (2013), a été distingué par le Prix de la Porte Dorée, le deuxième, Frère des astres
(2016), par le prix Spiritualités d’Aujourd’hui.
Julien Delmaire présentera son dernier roman Delta Blues, dernièrement paru aux éditions Grasset, dans une vaste
fresque historique et musicale, il nous emmène dans le delta du Mississipi au printemps 1932 dans une
période de terreur et d’injustice teintée de blues.

Delta Blues de Julien Delmaire
Delta Blues de Julien Delmaire

14 décembre: atelier d’écriture biographique.

Ateliers mensuels: les samedis de 14h30 à 17h00, à la #LibrairieduChâteau.

atelier d'écriture

Les ateliers sont proposés par l’association « En Corps En Tête » et animés par Valérie GUSELLA: éducatrice en Psychologie Narrative Formatrice en Communication et animatrice d’Ateliers d’Ecriture.

Chaque atelier est indépendant et peut être suivi de façon unique. L’ensemble des ateliers, répartis sur 9 mois, permet de « se réunir » avec une palette de textes comme autant de facettes de notre personne, redécouverte et réinventée, par le principe de la psychologie narrative et de la fonction « élucidante » de l’écriture et du récit de soi… Ecrire pour soi, écrire pour l’autre…

A chaque séance, un thème différent est exploré et encadré par une « contrainte littéraire » permettant d’investir différentes formes d’expression. Une façon ludique et efficace d’entrer en dialogue avec soi-même, de perfectionner son écriture, dans un cadre bienveillant, structuré… et complice.

Renseignements et inscriptions au 06 23 72 81 57 ou encorpsentete07@gmail.com

Tarif : 15€/Atelier ou 120€/Année (9 ateliers) – Places limitées à 6 personnes

Cet atelier est complet, mais pour votre information une nouvelle session est en place à partir de janvier 2020.