Dystopie dans la maison de la sororité sacrée,

Mélange d’apocalypse et de religieux dans une communauté gouvernée d’une main de fer par une mère supérieure.

les indignes

Présenté sous forme de journal intime testamentaire on reconnait l’influence de la servante écarlate.

Une lecture déroutante.

Les indignes d’Augustine Bazterrica, traduit de l’argentin par Margot Nguyen Béraud, chez flammarion, 21€50

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