Chronique du monde d’après de Benoît Pastisson (Editions Ma bastide)
345 pages
15€
Librairie du Château – Ardèche – Aubenas-Vals-Antraïgues
“Plus on lit, moins on imite.” Jules Renard – Journal
Lire une de ces chroniques chaque matin au réveil permet d’aborder la journée en mettant un peu de piment dans son plaisir d’être. Mais attention aux estomacs fragiles: certaines de ces histoires sont fortement acidulées.
Chronique du monde d’après de Benoît Pastisson (Editions Ma bastide)
345 pages
15€
Caroline Lamarche accompagne sa mère nonagénaire sur sa fin de vie.
Elle nous raconte ce lent déclin, cette relation ambivalente entre une mère devenue vulnérable et la rebelle de la famille avec un humour tendre et émouvant et avec un ton subtil et juste.
« La fin des abeilles » de Caroline Lamarche, Gallimard la Blanche
198 pages
22€50
De la campagne ardéchoise aux métropoles marseillaise, lyonnaise et parisienne, du milieu du 19e siècle aux années 50.
Ce roman suit quatre générations de femmes qui se passent tour à tour le flambeau du récit. Elles racontent leur quotidien et l’intimité de leurs pensées, sans cesse bouleversées par les tragédies du monde et les remous de la vie.
Rose, Mari-Louise, Madeleine et Akélatoune, un long voyage en Ardèche de Bernadette Chareyre
157 pages
15€
Julianne
Pour subvenir aux besoins de sa famille, Faydé quitte son village natal des montagnes du nord du Cameroun et devient domestique en ville.
Entre violences et discriminations, rêves de liberté et amours de jeunesse, l’autrice dresse un portrait vibrant de la classe féminine laborieuse du Sahel.
Coeur du Sahel de Djaili Amadou Amal, édité chez Emmanuelle Collas
364 pages
19€
Julianne
L’âme russe disséquée en un recueil d’une dizaine de nouvelles délicates.
Dans un quotidien contemporain on voyage entre la vie et la mort…
« Le corps de l’âme » de Ludmila Oulitskaïa, traduit du russe par SOPHIE BENECH, chez Gallimard.
208 pages
18€50
#VibreLivre
Écrire sur ce qu’on n’arrive pas à écrire, un roman sur le roman qu’on aimerait finir,
une réflexion sur la création, sur l’écriture en compagnie de Rilke, de Durer… ou du chien de la narratrice.
Dérives de Kate Zambreno, traduit par Stéphane Vanderhaeghe aux editions de La Croisée.
248 pages
22€
Un navire américain secourt un chalutier en détresse en mer de chine… Les personnages: diplomates et militaires nous font découvrir les rouages de l’escalade d’une guerre mondiale.
Les auteurs: L’amiral Stavridis, ancien commandant de la flotte américaine et l’écrivain Elliot Ackerman, ex-Marine multi-décoré écrivent une histoire troublante et effrayante de réalisme. Montée en puissance garantie avec un rythme soutenu à couper le souffle…
2034 d’Elliot Ackerman, traduit de l‘américain par Janique Jouin-de Laurens, chez Gallmeister.
384 pages
23€80
#VibreLivre
Raphaëlle, garde forestière doit faire face à un dangereux braconnier impuni.
Laissez-vous guider dans la forêt boréale pour connaitre la suite des événements hauts en couleur et écrit avec de belles expressions Québécoises.
Sauvagines de Gabrielle Filteau-Chiba, aux éditions de la bleue.
368 pages
20€90
Un père propose à ses deux jumeaux qu’il n’a pas vu depuis bien longtemps de faire une ultime expédition en canoë dans l’Ontario,
afin de se rappeler les bons souvenirs et de reprendre contact mais rien ne va se passer comme prévu.
Impossible de lâcher ce livre avant de savoir qui va survivre à ce tumulte familial.
Le lac de nulle part de Pete Fromm, traduit de l’anglais par JULIANE NIVELT, chez GALLMEISTER
448 pages
24€60
Écrit il y a quatre ans Andreï Kourkov met en scène le quotidien de deux amis/ennemis d’enfance,
dans un village du Donbass déserté en raison d’une menace de séparatistes pro-russes. On traverse un hiver et un printemps avec le personnage principal qui effectue sa transhumance apicole jusqu’en Crimée …Une belle analyse des cultures russes et ukrainiennes, c’est la guerre! très réaliste…
Les abeilles grises d’Andreï Kourkov Traduit du Russe par PAUL LEQUESNE chez Liana Levi
400 pages
23€
#VibreLivre