Histoire d’une famille en vacance en camping car au bord d’un lac perdu dans la forêt québécoise.
Mais un enchaînement de mauvaises décisions va transformer les vacances en cauchemar. Le texte est écrit en deux parties, avec dans la première le thriller plein de suspens et dans la deuxième le drame familial qui finit mal évidemment…Une écriture comme le parlé québécois, j’ai adoré la maîtrise du l’intrigue!
BAIGNADES d’Andrée A.Michaud, chez Rivages Noir – 21€
Les grecs et leur pays sont vendus à la sociétés privée Goldtex, fleurons du post-libéralisme qui divise la population du plus pauvre au plus riche!
Après une longue séparation, les deux personnages principaux de Chien 51, se retrouvent pour une nouvelle mission. Ils vont faire la découverte d’une nouvelle zone cachée à la population…un livre qui parle de notre cynisme vis à vis de l’exploitation des pays sous-développés qui travaillent pour notre bien-être. Mais Laurent Gaudé propose des initiatives de rébellion et de résistance.
Il reste quelques places pour cet atelier d’initiation offert par la librairie, d’une durée de 3/4 heure, avec Fabienne JACQUEMIN, organisatrice d’ateliers et de cours sur le japon…. Elle est responsable de la l’association à propos du japon.
C’est une maison à la veille de sa démolition. Demain les hommes de la route viendront et effaceront le lieu.
Une femme passe la nuit en ce lieu déserté, ce sont les dernières heures de ceux qui l’habitent encore et ne peuvent le fuir. Les voix humaines se sont depuis longtemps tues, l’heure est venue d’en entendre d’autres. Des voix qui ont fait le lieu, qui ont vu la ferme sortir de terre, la vie s’y déployer. La femme vient recueillir l’histoire d’un siècle : en 1910 il y a eu les Marsand, trois générations de fermiers. Puis l’homme qui s’est installé quand la lignée des paysans s’est éteinte. Enfin elle, l’échouée, venue trouver refuge il y a quelques années.
La vie fragile de Louise POMMERET, les éditions du chemin de fer – 16€ . entrée gratuite, sur réservation.
Et jeudi 25 septembre à 19h: rencontre et signature avec Jean-Marc GHITTI pour son dernier essai LA TERRE CONFISQUEE.
LA TERRE CONFISQUEE de Jean-Marc GHITTI, chez la Lenteur – 15€ .
A 69, N 88, rocades de contournement de Strasbourg ou Montpellier…Â : les conflits autour de projets d’extension des routes et autoroutes se multiplient à travers la France. Professeur de philosophie, spécialiste de Simone Weil, Jean-Marc Ghitti propose ici une critique de l’aménagement du territoire qui va au-delà des seuls arguments écologistes contre ces projets. En revenant sur les politiques gaullistes, puis euro-libérales, d’aménagement, en convoquant les critiques de Debord et Marcuse contre l’administration de la vie quotidienne et de l’espace, en s’intéressant même aux modalités d’emprise de l’Empire romain sur ses terres de conquête il y a 2000 ans, Ghitti démontre que l’aménagement des territoires est toujours au service d’un pouvoir centralisé et du développement économique. Il suggère, en creux, un autre rapport à la terre et à l’habitat. Jean-Marc Ghitti est professeur de philosophie et auteur de plusieurs essais dans les domaines de l’esthétique, de la morale et de la politique. Il a aussi publié des romans, des contes et des poèmes. Animateur de radio et d’associations sociales et culturelles, il poursuit son travail de philosophie fondamentale en dehors des institutions de recherche.
Wouters, un commissaire désabusé, se retrouve plongé dans un complot politique obscur qui pourrait devenir un piège mortel.
Paris, 1986. Un expert-comptable tombe de la fenêtre de son appartement. Tout laisse à penser à un suicide, l’homme était nerveux et agité, mais sa fille refuse obstinément d’y croire. Une amie lui donne le contact de son oncle, Wouters, un pilier de la PJ, commissaire désabusé proche de la retraite, qui décide de l’aider. Rapidement, il décèle des coïncidences troublantes : une série de cambriolages dans le sillage du mort, un » accident » sur le chantier en face de son immeuble, mais surtout, sa proximité avec certains membres du parti socialiste, mêlés à une sombre histoire de vente illégale d’armes. Derrière ce décès anodin en apparence, Wouters risque bien de déterrer des secrets que certains politique paieraient cher pour laisser enfouis.
FONDS NOIRS de Xavier BOISSEL – chez 10/18 – 15€90
Après Elle plantait des arbres paru 2023, Liliane GIMBERT signe ici son deuxième roman.
« La cathédrale de la ville d’Albi abrite, en son sein, la fameuse fresque du Jugement dernier. Et c’est sur son clocher qu’un couple de faucons pèlerins a choisi de nicher. Artisan d’art, Antoine est venu s’installer dans la cité épiscopale. Il habite tout près de Clotilde, une vieille dame fortement impliquée dans l’observation des oiseaux…La famille est souvent mise à mal. Des couples se séparent, se brisent ou se renouent. Qu’en est-il des enfants? »
Les paysages grandioses de l’Alaska avec ces montagnes, ces forêts et ces habitants esseulés et parfois désœuvrés qui ont une peur farouche de l’ours.
Une histoire racontée à travers les yeux et l’esprit d’une petite fille de 6 ans qui va rencontrer l’Homme et l’Animal qu’il y a en chacun de nous…Un livre où l’on suit les personnages en courant avec eux à travers les montagnes. Laissez-vous emporter!
Une histoire d’ours d’Eowyn Ivey, traduit de l’américain par Jacques Mailhos, chez Gallmeister, 24€90
Burzet…Cet authentique village ardéchois, niché sur les contreforts des monts du vivarais, offre son écrin bucolique à un récit aussi sincère que renversant, pleinement inscrit dans la réalité historique des lieux. Qui retrace sur plus d’un siècle, les vicissitudes et les parcours de vie de Marthe, Émile, Augustine et Joseph, pour ne citer qu’eux. Une famille du plateau, un noyau d’humains obstinément accroché à sa chaumière de Pierrebelle, à cette terre puissante, indomptable et malgré tout nourricière.
Ce que nous m’ont dit les pierres de Loïc LACAM – 17€
Une jeune étudiante noire disparait d’une résidence blanche…
Au fur et à mesure du texte on découvre les trajectoires compliquées, certains sont amenés à voter Trump malgré l’exploitation du système engendré par ses partisans politiques, et d’autres vivent dans le mensonge pour sauver les apparences. Une vision cinglante de l’Amérique…
il est long le chemin du retour d’Attica Locke, traduit de l’anglais par Nicolas Paul chez Liana Levi 22€