Une écriture poétique tout en pudeur…

Le deuxième roman de Victoria Kielland qui décrit les affres intérieurs d’une tueuse en série au tout début du XIX siècle dans une Amérique puritaine.

Mes hommes de Victoria Kielland, traduit du norvégien par JEAN-BAPTISTE COURSAUD

Chaque phrase est composée de son contraire, comme l’ambivalence de cette femme qui oscille entre illuminations religieuses et désirs physique d’amour.


Mes hommes de Victoria Kielland, traduit du norvégien par JEAN-BAPTISTE COURSAUD.


220 pages


21€

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