Le roman social de l’année !

Camille apprend que son père est atteint d’un cancer: la tumeur essaime à toute vitesse et trace sa route, au même moment un immense chantier qui va détruire le massif du Meygal et le vivant qui s’y niche se met en place.

Ce livre est l’histoire d’une double lutte. La résistance de Camille, prise en étau entre deux fronts, ouvre peut-être une chance de renaître au pays des sucs volcaniques.Un magnifique premier roman émouvant et généreux, où une jeune femme se reconstruit en mettant toutes ses forces dans les combats qui l’entourent et guérissant ainsi ses propres blessures.


Dessous la dure écorce de Louise Pommeret aux éditions de l’Aube

288 pages

21€

Banal ?

Un couple au bord de la rupture décide de partir en Sicile pour les vacances, le lendemain de leur arrivée, un accident chamboule tout.

Banal ? Pas vraiment, car on se laisse embarquer dans ce périple cocasse écrit dans un style épuré et avec un humour jubilatoire.


Taormine (prix des libraires de Nancy 2022) d’Yves Ravey chez Minuit

144 pages

16€

« Ces derniers jours du quatrième monde… »

La poétesse Amérindienne des USA, Joy Harjo, établit une nouvelle temporalité pour nous parler de ses ancêtres et de ses enfants.

Une ouverture à un nouveau monde qui rentre en résonance entre poésie et récit. Un texte surprenant qui ne laisse pas indifférent…


Carte pour le monde à venir de Joy Harjo chez L’ARBRE A PAROLES

18€


#VibreLivre

Ceci n’est pas un roman!

Au pays des silences, Olivia Rosenthal, sonde la mémoire des Japonnais sur l’attentat au sarin dans le métro de Tokyo. Les réponses des uns et des autres ne fait que rajouter des questions sur notre mémoire bien sélective.

Une lecture en forme de puzzle, déroutante et interrogative.


« Un singe à ma fenêtre » d’Olivia Rosenthal, chez Vertical

180 pages

17€


#VibreLibre

Fantastique!

Les grecs et leur pays sont vendus à la société privée Goldtex: fleuron du post-libéralisme, qui divise la population en trois zones: du plus pauvres au plus riches!

Deux policiers de deux zones différentes doivent travailler ensemble sur une série de crimes politiques…La condition humaine révélée sous le prisme de la dystopie.
« Chien 51 » de Laurent Gaudé , chez Actes Sud

304 pages

22€
#VibreLivre

Samedi 30 juillet en matinée, rencontre et dédicace avec Benoît Pastisson pour Chronique du monde d’après (Editions Ma bastide)

Lire une de ces chroniques chaque matin au réveil permet d’aborder la journée en mettant un peu de piment dans son plaisir d’être. Mais attention aux estomacs fragiles: certaines de ces histoires sont fortement acidulées.

Chronique du monde d’après de Benoît Pastisson (Editions Ma bastide)

345 pages

15€

Subtil et juste.

Caroline Lamarche accompagne sa mère nonagénaire sur sa fin de vie.

Elle nous raconte ce lent déclin, cette relation ambivalente entre une mère devenue vulnérable et la rebelle de la famille avec un humour tendre et émouvant et avec un ton subtil et juste.

« La fin des abeilles » de Caroline Lamarche, Gallimard la Blanche

198 pages

22€50