Librairie du Château – Ardèche – Aubenas-Vals-Antraïgues
“Plus on lit, moins on imite.” Jules Renard – Journal
Par une soirée Parisienne caniculaire, Claudia mijote son dîner pour ses invités qui ne vont pas tarder à arriver, mais elle aimerait tant être ailleurs.
Un simple dîner de Cécile Tliti, chez Calmann Lévy, 18€
Guilaine
Vengeances sordides dans les bas fond New-Yorkais. Deux familles que tout oppose vont s’affronter sans vergogne jusqu’au sang…
Les aiguilles d’or de Michael McDowell chez Mr Toussaint Louverture, 12€90
Valérie
Le récit se passe dans les années 30, dans le milieu de la peinture et de la sculpture.
C’est une histoire d’amour avec meurtre et trahison. Un magnifique moment de lecture !
Veiller sur elle de Jean-Baptiste Andréa,chez l’iconoclaste, 22€50.
Guilaine
Une mère laisse son bébé Ilaria au pensionnat, pensant qu’ainsi elle aura une culture musicale.
Ilaria deviendra copiste pour Vivaldi, mais apprendra la musique dans la douleur du pensionnat. L’écriture bascule entre les envolés musicales et le monde austère où vivent ses pensionnaires. On est bouleversé par la finesse des émotions, c’est une lecture à fleur de peau.
Le grand feu de Léonor de Récondo, chez Grasset, 19€50.
Véronique
Sur fond de guerre d’Espagne, on découvre les us et coutumes d’un village perdu dans les Pyrénées.
C’est l’histoire de deux couples qui se rencontrent et qui apprennent à vivre ensemble. C’est la relation du féminin au masculin, de la mère à l’enfant…Un livre à lire et à offrir
L’enfant don de Jean Darot, aux éditions Passiflore, 11€
Anna
d’un couple de banquier et médecin vivant à New-York et passionné par les champignons.
Ils vont aller à la rencontre d’une chamane mexicaine qui leur fait découvrir les pouvoirs hallucinogènes des petites choses. On va traverser toute une époque entre cette découverte et l’apparition du LSD. Des personnages romanesques et attachants, une histoire qui dénonce les comportements lors de la divulgation des connaissances de ces scientifiques autodidactes.
Les petites choses de Benoît Coquil, chez payot rivages, 19€50.
Anna
A travers les portraits de trois personnages sous l’emprise constante du numérique, Clémence Renard nous les dévoile par le prisme d’une lucarne comme à travers l’œil du cyclone.
Elle décrit les ravages de ces dépendances comme l’ouragan qui traverse Chicago… Cette déferlante aux addictions numériques entremêle les émotions de ces personnages avec la nature qui se déchaine.
Dans l’œil de la tempête de Clémence Renard aux éditions Fugue
256 pages
20€
Si vous souhaitez changer votre quotidien c’est le livre qu’il vous faut.
Un scientifique loufoque crée malgré lui un nuage de neige qui recouvre pratiquement tout le continent, une fin du monde rondement menée avec des personnages attachants comme un tueur à gage dépressif et une Blanche Jardin…Gardin!!!Un livre tout blanc comme un nouveau départ lors d’une page blanche?
Tout blanc de Frédéric Ploussard , aux éditions Héloïse d’Ormesson
320 pages – 20€
#VibreLivre
Une jeune épouse, Asa, la trentenaire, quitte son emploi et la grande ville, ses beaux parents lui prêtent à elle et à son mari la maison voisine qui n’est plus louée, gratuitement, quelle aubaine! Peu à peu un étrange ennui va s’installer dans l’univers de la narratrice, une chaleur étouffante, des cigales omniprésentes, un trou, des créatures bizarres, beaucoup d’insectes, on ne sait plus très bien si nous sommes dans un rêve, et soudain le réalisme revient avec le beau père qui passe son temps à arroser sa pelouse, ou son mari qui lui parle à demi-mots tout en continuant à pianoter sur son portable…
Les personnages voient-ils la même chose, qu’est ce qui est réel, quel est le fruit de notre imagination?
Le trou d’Hiroko Oyamada, traduit du japonais par Silvain Chupin, aux éditions Christian Bourgois.
152pages
20€
Une amie souffrant d’un cancer en phase terminale demande à la narratrice…
de l’accompagner dans ses dernières semaines, l’auteur nous interroge sur les liens qui nous unissent dans un style acéré et parfois drôle.
« Quel est donc ton tourment? » de Sigrid Nunez, traduit de l’anglais par MATHILDE BACH , chez Stock.
266 pages
20€90
