Ilaria deviendra copiste pour Vivaldi, mais apprendra la musique dans la douleur du pensionnat. L’écriture bascule entre les envolés musicales et le monde austère où vivent ses pensionnaires. On est bouleversé par la finesse des émotions, c’est une lecture à fleur de peau.
Le grand feu de Léonor de Récondo, chez Grasset, 19€50.
Véronique