Elle va connaître de grandes espérances et de grandes désillusions, des joies fulgurantes et des chagrins ravageurs. L’autrice, amoureuse des langues, entretient avec elles une relation étroite, la langue de ce roman est vivante et changeante avec ses particularismes du XIXè siècle, ses quelques mots d’occitan ou de « francitan ». Une histoire à lire et à relire pour s’évader tranquillement de notre XXIè siècle robostisé.
Thérèse, la force de vaincre. Elle mangea des raisins verts Tome II de Malvina MALIGE.