En 2401, on identifie ce phénomène à une rupture dans le logiciel temps, un homme est projeté dans le passé. Le pouvoir de la machine est mis en parallèle avec la force du ressentiment humain…
La mer de la tranquillité d’Emily St. John Mandel, traduit de l’anglais par Gérard De Cherge, aux éditions Rivages
304 pages
22€
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