Panoptica est un roman en forme de robinsonnade moderne. Naïf omniscient, son héros court le vaste monde à la recherche de réponses.
Angelo
Della Spiaggia, Homo Sapiens Sapiens en diable, n’a de cesse de penser
et de penser qu’il pense. Sur son chemin hasardeux, un rien l’interroge
et il cultive sa manie de tout vouloir théoriser. Sa route croise une
galerie étonnante de personnages qui, chacun à leur façon, infléchissent
sa trajectoire et modifient sa vision du monde.
On ne sait pas grand chose sur l’auteur, Angelo della Spiaggia. Italien peut-être, peut-être pas ; cela n’a sans doute pas d’importance.
Ce que l’on sait, c’est qu’il a mis dix années à écrire ce roman où son héros (qui porte étrangement son nom, mais dans une version administrative) lui sert de véhicule tout terrain pour explorer des territoires aussi divers que la mondialisation, la musique, la peinture, le langage, la folie, la peur, le pouvoir, le tourisme, le paysage, la croyance et bien sûr l’amour. Tout y passe pourrait-on dire, mais c’est avant tout de littérature qu’il est question.
Panoptica, A la découverte de la mécanique générale d’Angelo Della Spiaggia, aux éditions Des Mauvais Sauvages.378 pages
23€