Ecologie et resistanceUne table ronde en présence de: Louise POMMERET, auteure de « Dessous la dure écorce », aux éditions de l’Aube; Jean-Marc GHITTI, essayiste, philosophe, auteur d' »Avec et par delà l’écologie », aux éditions Kime, les éditions de la Lenteur: La subsistance et Florent GOUGET représentant la revue L’INVENTAIRE.
La table ronde sera suivie d’une discussion avec l’assistance, entrée libre.
Un premier roman bouleversant, « Mon petit » nous entraîne dans les rues de Belleville, dans les pas frénétiques d’une jeune fille décidée à vivre plus tôt que les autres. Sans savoir que les lendemains, parfois, vous scient les jambes…
Mon petit de Nadège ERIKA aux livres agités – 280 pages – 20€
Très jeune, Nicole Faucon-Pellet découvre l’écriture : une passion qui ne la quittera plus. Elle vit aujourd’hui à Saint-Remèze, en Ardèche du Sud.
« A la ferme de l’Espan, les Mérilhac mènent une vie paisible lorsqu’un événement tragique frappe avec la mort de Nicolas, le dernier né, entrainant la faillite du domaine, la dépression du père et le démantèlement de la famille. Adrien, l’aîné, trouve refuge au Peyrou, une petite maison léguée par son oncle Joseph. De là, hormis les levers de soleil sur le Mont-Ventoux, il observe le ballet des huissiers et la lente dégradation de sa ferme natale. Désirant reconquérir sa dignité et venger ce petit frère injustement puni, il n’a qu’un seul but: réhabiliter l’Espan victime d’une mauvaise réputation. Empruntant des chemins tortueux, obnubilé par son idée fixe, Adrien parviendra à redonner au domaine ses lettres de noblesse.
La roue de l’Espan de Nicole FAUCON-PELLET aux éditions de la Calade, 238 pages,18€50.
Un éventail de parcours aux destins multiples souvent entremêlés d’un fil conducteur. Alice Lacour a brossé sur son chemin le portrait d’une trentaine de personnes étonnantes.
Peut-être les connaissez-vous ? Les avez-vous croisées ? Ouvrez l’ouvrage, tournez les pages, goûtez à ce breuvage infusé par les mots. Cachées de-ci, de-là, quelques dates anniversaire sur cette année 2023. Découvrez-les…
A la croisée de chemins de vies Ardéchoises d’Alice Lacour aux éditions du Sac à dos – 22€
Stève Wilifrid Mounguengui quitte le Gabon et arrive en France à l’âge de 25 ans pour faire des études de philosophie. Avant de partir, il dit à sa mère qu’un seul mot d’elle pourrait le faire rester au Gabon, mais elle insiste : « Pars mon enfant, pars aussi loin que possible. Reste là-bas, l’essentiel est de réussir à vivre. Peu importe l’endroit où tu vis… Promets-moi que tu ne reviendras pas. Promets-moi. Quand tu pleureras de France je t’entendrai.» Il ne la reverra jamais, morte au pays avant qu’il ne puisse y revenir. À défaut de pouvoir enterrer sa mère, le poète lui construit un tombeau de mots.
Depuis toujours, Stève Wilifrid Mounguengui rêvait de la France, découverte à travers ses lectures innombrables, comme celles de Marcel Pagnol dont les paysages lui rappelaient ceux de Mouila, sa ville natale. « Lui aussi chassait comme moi, lui aussi avait un père bon instituteur et piètre chasseur du dimanche. Lui aussi habitait le château de sa mère.» D’une vaste écriture poétique, il parle de son arrivée en banlieue parisienne, de la façon dont il écrit, le matin à l’aube, dans le RER, lorsqu’il se rend au travail. Il raconte, comme un paradis perdu mais toujours enchanteur, son enfance au Gabon auprès de ses parents et de ses frères et sœurs, l’enfant des champs, l’étendue des plaines en lui, le chant des oiseaux, la lueur des lucioles… autant de tableaux somptueux d’une enfance simple auprès d’une mère courage, personnage charismatique et généreux, qui s’oublie pour faire le bien autour d’elle.
Dès le jeudi 2 février à 19h et chaque premier jeudi du mois, venez partager vos lectures ou venez simplement écouter les lecteurs en buvant une tisane, ou un tonic avec une collation, suivant l’humeur (entrée libre).
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
Le vendredi 20 janvier à 19h30, venez participer à la nuit de la lecture , entrée libre ouverte à toutes et à tous, venez partager un moment convivial autour de textes lus ou écoutés ayant comme thématique la peur!
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
Jean Tirelli a vécu durant quinze années dans les vallées perdues de l’Ardèche méridionale.
Il y est arrivé en 1976 emporté par la deuxième vague d’immigration d’une jeunesse folle et joyeuse qui voulait vivre autrement. Après de nombreux chambardements dans sa vie, il finit ses études à Aix en Provence et exerça comme psychologue dans des institutions pour enfants et pour personnes âgées. Durant douze années il fut maire d’une petite commune de la moyenne montagne ardéchoise.
Hôpital, bruits de couloir et Au-delà de David ; mon frère n’est pas mort, il est juste passé à côté ! (JMG Editeur)Ceci est une histoire vraie. J’étais une journaliste à l’esprit pragmatique lorsque j’ai perdu de façon brutale mon jeune frère âgé de trente-cinq ans.
Tandis que le monde s’écroulait, je me suis raccrochée à une annonce : Ina, jeune médium, proposait son aide de façon gracieuse… Contact fut pris. Partagée entre le scepticisme et l’envie d’y croire, je me suis trouvée propulsée dans un monde inconnu mais fascinant, peuplé de plans astraux, d’êtres de lumière, d’anges, de défunts coopérateurs… Cependant, chacune des paroles prononcées par Ina a fait de ma part l’objet d’une analyse critique jusqu’à ce que mon cartésianisme finisse par vaciller. Pendant six mois, une idée de livre en tête, nous avons correspondu Ina et moi, par le biais du téléphone ou de l’informatique, avant de nous rencontrer. Conduit avec humour et légèreté, ce récit est un parcours initiatique sur les chemins de la spiritualité. Une véritable enquête sur « l’après » qui s’adresse aux athées comme aux convaincus, un livre positif au caractère intime et sensible. La mort, ici, est rapportée de façon lumineuse. Nos chers disparus laissent trop souvent une place incommensurablement vide de leur absence mais également vide de sens… Cela a conduit à un récit pur, troublant, universel qui pourrait aider beaucoup d’entre nous à répondre à la si douloureuse question : comment survivre aux êtres qui nous sont chers ?
pour son dernier ouvrage Thérèse,la force de vaincre. (Éditions Dolmazon);Thérèse Matisse vient au monde en Haute-Loire, au bourg de Thoras.
Après une petite enfance intrépide et heureuse dans ce monde plein de superstitions, son destin bascule après la disparition tragique de sa grand-mère puis celle de sa mère. Thérèse est recueillie par un oncle et sa femme. Elle va grandir dans ce monde paysan, avec ses douceurs, ses turpitudes et celui joyeux et féminin, des couviges de dentellières. Nous quittons Thérèse quand, à 18 ans, elle attend avec une impatience fébrile le moment où elle sera enfin maîtresse dans sa maison auprès de son promis Victor. À travers ce roman nous suivrons le destin âpre des femmes de la montagne confrontées à des conditions de vie rudes, que viennent adoucir la solidarité des voisins et le soutien indéfectible de la famille.