Dans l’Angleterre des années 60, Phyllis Fischer mère de famille de la banlieue chic de Londres tombe amoureuse de Nicholas Knight, le jeune fils d’amis de son mari et quitte son foyer du jour au lendemain.
Privilégiant son épanouissement personnel, elle s’affranchit des conventions sociales de l’époque. Dans un style fluide, Tessa Hadley sait nous faire ressentir la complexité des relations conjugales, et nous décrit avec volupté ce changement de société des années Beatles.
Dès le jeudi 2 février à 19h et chaque premier jeudi du mois, venez partager vos lectures ou venez simplement écouter les lecteurs en buvant une tisane, ou un tonic avec une collation, suivant l’humeur (entrée libre).
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
Le vendredi 20 janvier à 19h30, venez participer à la nuit de la lecture , entrée libre ouverte à toutes et à tous, venez partager un moment convivial autour de textes lus ou écoutés ayant comme thématique la peur!
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
Le vendredi 20 janvier à 19h30, venez participer à la nuit de la lecture , entrée libre ouverte à toutes et à tous, venez partager un moment convivial autour de textes lus ou écoutés ayant comme thématique la peur!
venez participer à la nuit de la lecture…
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
A travers des familles de bûcherons installées en Californie, on découvre leurs quotidiens et leurs rêves d’être propriétaires de forêts ancestrales. Jusqu’à l’arrivée d’un groupe d’écologistes qui veut transformer la région en parc naturel…
La rencontre de points de vue divergents qui pourtant se côtoient, une lecture majestueuse, dans des paysages admirables…Grandiose.
Les derniers géants d’Ash Davidson, traduit de l’américain par Fabienne Duvigneau, aux éditions actes sud.
Jean Tirelli a vécu durant quinze années dans les vallées perdues de l’Ardèche méridionale.
Il y est arrivé en 1976 emporté par la deuxième vague d’immigration d’une jeunesse folle et joyeuse qui voulait vivre autrement. Après de nombreux chambardements dans sa vie, il finit ses études à Aix en Provence et exerça comme psychologue dans des institutions pour enfants et pour personnes âgées. Durant douze années il fut maire d’une petite commune de la moyenne montagne ardéchoise.
Jean Tirelli a vécu durant quinze années dans les vallées perdues de l’Ardèche méridionale.
Il y est arrivé en 1976 emporté par la deuxième vague d’immigration d’une jeunesse folle et joyeuse qui voulait vivre autrement. Après de nombreux chambardements dans sa vie, il finit ses études à Aix en Provence et exerça comme psychologue dans des institutions pour enfants et pour personnes âgées. Durant douze années il fut maire d’une petite commune de la moyenne montagne ardéchoise.
Elle se souvient comme dans un rêve de l’accident, du choc sur l’asphalte. Quand elle reprend connaissance, elle est loin des sollicitations constantes de la ville et de son agitation, à l’abri d’une maison forestière nichée au cœur des montagnes.
À ses côtés, Jeanne, Stella et la forêt profonde. On parle peu ici. Mais tout semble bruisser, se mouvoir et palpiter d’une force étrange et magnétique. Ses deux compagnes et la nature alentour se confondent parfois, comme pour mieux l’initier à une autre manière d’être, instinctive et animale. S’en aller, enfin… La Sauvagière est une fable onirique qui nous invite à repenser le lien qui nous unit au monde, loin des constructions et des contingences modernes. Page après page, dans ce premier roman, Corinne Morel Darleux nous plonge dans un univers puissamment poétique où les sens deviennent maîtres et où notre humanité se métamorphose au contact du bois humide et sous les caresses du vent. La langue que déploie l’autrice est le miroir du cheminement de la narratrice : la finesse du vocabulaire rend compte de la richesse des sensations qu’elle découvre une fois libérée du poids de la normalité qu’elle voulait tant fuir. Médiapart.
Hôpital, bruits de couloir et Au-delà de David ; mon frère n’est pas mort, il est juste passé à côté ! (JMG Editeur)Ceci est une histoire vraie. J’étais une journaliste à l’esprit pragmatique lorsque j’ai perdu de façon brutale mon jeune frère âgé de trente-cinq ans.
Tandis que le monde s’écroulait, je me suis raccrochée à une annonce : Ina, jeune médium, proposait son aide de façon gracieuse… Contact fut pris. Partagée entre le scepticisme et l’envie d’y croire, je me suis trouvée propulsée dans un monde inconnu mais fascinant, peuplé de plans astraux, d’êtres de lumière, d’anges, de défunts coopérateurs… Cependant, chacune des paroles prononcées par Ina a fait de ma part l’objet d’une analyse critique jusqu’à ce que mon cartésianisme finisse par vaciller. Pendant six mois, une idée de livre en tête, nous avons correspondu Ina et moi, par le biais du téléphone ou de l’informatique, avant de nous rencontrer. Conduit avec humour et légèreté, ce récit est un parcours initiatique sur les chemins de la spiritualité. Une véritable enquête sur « l’après » qui s’adresse aux athées comme aux convaincus, un livre positif au caractère intime et sensible. La mort, ici, est rapportée de façon lumineuse. Nos chers disparus laissent trop souvent une place incommensurablement vide de leur absence mais également vide de sens… Cela a conduit à un récit pur, troublant, universel qui pourrait aider beaucoup d’entre nous à répondre à la si douloureuse question : comment survivre aux êtres qui nous sont chers ?
pour son dernier ouvrage Thérèse,la force de vaincre. (Éditions Dolmazon);Thérèse Matisse vient au monde en Haute-Loire, au bourg de Thoras.
Après une petite enfance intrépide et heureuse dans ce monde plein de superstitions, son destin bascule après la disparition tragique de sa grand-mère puis celle de sa mère. Thérèse est recueillie par un oncle et sa femme. Elle va grandir dans ce monde paysan, avec ses douceurs, ses turpitudes et celui joyeux et féminin, des couviges de dentellières. Nous quittons Thérèse quand, à 18 ans, elle attend avec une impatience fébrile le moment où elle sera enfin maîtresse dans sa maison auprès de son promis Victor. À travers ce roman nous suivrons le destin âpre des femmes de la montagne confrontées à des conditions de vie rudes, que viennent adoucir la solidarité des voisins et le soutien indéfectible de la famille.