Entre violences et discriminations, rêves de liberté et amours de jeunesse, l’autrice dresse un portrait vibrant de la classe féminine laborieuse du Sahel.
Coeur du Sahel de Djaili Amadou Amal, édité chez Emmanuelle Collas
364 pages
19€
Julianne
Librairie du Château – Ardèche – Aubenas-Vals-Antraïgues
“Plus on lit, moins on imite.” Jules Renard – Journal
Pour subvenir aux besoins de sa famille, Faydé quitte son village natal des montagnes du nord du Cameroun et devient domestique en ville.
Entre violences et discriminations, rêves de liberté et amours de jeunesse, l’autrice dresse un portrait vibrant de la classe féminine laborieuse du Sahel.
Coeur du Sahel de Djaili Amadou Amal, édité chez Emmanuelle Collas
364 pages
19€
Julianne
L’âme russe disséquée en un recueil d’une dizaine de nouvelles délicates.
Dans un quotidien contemporain on voyage entre la vie et la mort…
« Le corps de l’âme » de Ludmila Oulitskaïa, traduit du russe par SOPHIE BENECH, chez Gallimard.
208 pages
18€50
#VibreLivre
Suite à la chute d’un homme sur les rails d’un train qui passe, l’accusé prend la fuite et se réfugie chez une aveugle habitant tout près.
A leur insu une relation s’installe sans que l’un et l’autre ne le sachent.Tout en finesse on découvre le monde d’une personne qui a perdu la vue…
Rendez-vous dans le noir d’Otsuichi, traduit par MYRIAM DARTOIS-AKO, chez Picquier
256 pages
8€50
#VibreLivre
Écrire sur ce qu’on n’arrive pas à écrire, un roman sur le roman qu’on aimerait finir,
une réflexion sur la création, sur l’écriture en compagnie de Rilke, de Durer… ou du chien de la narratrice.
Dérives de Kate Zambreno, traduit par Stéphane Vanderhaeghe aux editions de La Croisée.
248 pages
22€
Pendant vingt ans, Juan Llosa a fait danser la planète. Toujours entre deux avions, deux soirées, deux gueules de bois, le vibrionnant DJ des Sirènes d’Es Vedra a vécu « deux décennies d’exil et d’excès ». Capable de devancer les désirs du public, de « l’amener à un endroit où il n’aurait jamais pensé aller », il est considéré comme « un esthète du mix, un virtuose des platines ». Est-ce parce que la pandémie a rendu rares les occasions de faire la fête et quelque peu anachroniques les évocations de grandes communions musicales ? Les mots et les rythmes du premier roman très abouti de Tom Charbit résonnent chez le lecteur avec une intensité remarquable. Mais gageons plutôt que la mélancolie puissante qui se dégage de ce texte tient surtout à la lucidité, à la fois tendre et impitoyable, toute d’autodérision, avec laquelle le héros du roman examine sa vie de « fêtard invétéré » et tente de s’inventer un avenir.
Lorsque le lecteur fait sa connaissance, le narrateur a trouvé refuge, en plein hiver, dans un village ardéchois. Contraint de s’éloigner des dancefloors pour soigner ses acouphènes, il goûte difficilement la sobriété des lieux. Il lui faut bien admettre que sa « solide expérience de la fête est une compétence assez peu recherchée » hors du monde de la nuit. Et que sa capacité à expliquer « dans n’importe quelle langue et à n’importe quel point du globe [qu’il a] besoin d’une bière fraîche et d’un gramme de cocaïne » ne suffira pas à lui ouvrir les portes de la sociabilité villageoise. Le roman de Tom Charbit n’est pourtant ni un récit branché sous psychotropes, célébrant d’un air faussement désabusé les nuits sans fin d’Ibiza ou de Berlin, ni une satire du roman néorural. Plutôt l’évocation d’une crise de milieu de vie, qui prend au sérieux la question du sens de la fête et la laisse entrer en écho avec les blessures de l’époque.
Le romancier s’empare d’une thématique prétendument futile et en explore avec finesse les profondeurs. Comme Ulysse se laissant séduire par le chant des sirènes, dont il connaît pourtant les dangers mortifères, son narrateur tente de trouver un moyen terme entre l’énergie créatrice à l’œuvre dans la fête et les risques attachés à ses excès. Ce qui aurait pu n’être que le récit d’un malaise existentiel devient, sous la plume aiguisée de Tom Charbit, un roman aussi ample que bouleversant, où l’amour et la mort jouent chacun leur partition sans que l’on sache quelle pulsion mène véritablement la danse(…).
Florence Bouchy, du Monde.
Florence Bouchy, du Monde.
Une petite ville du Donbass en Ukraine qui s’appelait Novhorodske sous la période communiste…
Finalement le choix de nommer cette ville New York a été adopté en prévision d’une attaque de missiles: ainsi l’adversaire réfléchirait à deux fois avant de larguer sa cargaison…
New York, Ukraine : guide d’une ville inattendue (préface Serhiy Jadan) de Niels Ackermann et Sébastien Gobert
Editeur:Noir Sur Blanc
204 pages
27€
#VibreLivre
La famille de l’auteur Philippe Sands, juriste international, est étrangement lièe à Otto Van Wätcher, gouverneur en Pologne puis en Ukraine pendant la seconde guerre.
Une enquête minutieuse révèle les atrocités nazies, puis comment ce personnage s’est volatilisé en se cachant en Europe puis en Amérique du Sud. Ce livre se lit comme un thriller d’espionnage avec des intrigues à rebondissements…
La Filière de Philippe Sands, traduit de l’anglais par Astrid von Busekist, Ldp Documents.
672 pages
9€20
#VibreLivre
Un navire américain secourt un chalutier en détresse en mer de chine… Les personnages: diplomates et militaires nous font découvrir les rouages de l’escalade d’une guerre mondiale.
Les auteurs: L’amiral Stavridis, ancien commandant de la flotte américaine et l’écrivain Elliot Ackerman, ex-Marine multi-décoré écrivent une histoire troublante et effrayante de réalisme. Montée en puissance garantie avec un rythme soutenu à couper le souffle…
2034 d’Elliot Ackerman, traduit de l‘américain par Janique Jouin-de Laurens, chez Gallmeister.
384 pages
23€80
#VibreLivre
Raphaëlle, garde forestière doit faire face à un dangereux braconnier impuni.
Laissez-vous guider dans la forêt boréale pour connaitre la suite des événements hauts en couleur et écrit avec de belles expressions Québécoises.
Sauvagines de Gabrielle Filteau-Chiba, aux éditions de la bleue.
368 pages
20€90
Un père propose à ses deux jumeaux qu’il n’a pas vu depuis bien longtemps de faire une ultime expédition en canoë dans l’Ontario,
afin de se rappeler les bons souvenirs et de reprendre contact mais rien ne va se passer comme prévu.
Impossible de lâcher ce livre avant de savoir qui va survivre à ce tumulte familial.
Le lac de nulle part de Pete Fromm, traduit de l’anglais par JULIANE NIVELT, chez GALLMEISTER
448 pages
24€60