Une lecture magnétique, comme un voyage poétique.
La sauvagière de Corinne Morel Darleux chez Dalva
144 pages
17€
#VibreLivre
Librairie du Château – Ardèche – Aubenas-Vals-Antraïgues
“Plus on lit, moins on imite.” Jules Renard – Journal
Une fiction écologique, féministe et ésotérique qui nous transporte dans une nature foisonnante, sensuelle et animale.
Une lecture magnétique, comme un voyage poétique.
La sauvagière de Corinne Morel Darleux chez Dalva
144 pages
17€
#VibreLivre
Dans les années 70 de Pompidou, entre Paris et l’Ardèche de la Souche à Jaujac,
un inspecteur: ancien vétéran de la guerre de Corée va devoir résoudre un crime aux allures de règlement de compte…Une belle reconstitution des années 70 et du milieu gauchiste de l’époque.
« Sommeil de cendres » de Xavier Boissel, chez 10/18
288 pages
14€90
#VibreLivre
Les grecs et leur pays sont vendus à la société privée Goldtex: fleuron du post-libéralisme, qui divise la population en trois zones: du plus pauvres au plus riches!
Deux policiers de deux zones différentes doivent travailler ensemble sur une série de crimes politiques…La condition humaine révélée sous le prisme de la dystopie.
« Chien 51 » de Laurent Gaudé , chez Actes Sud
304 pages
22€
#VibreLivre
« Plaisirs d’Ardèche », le beau livre photos de Matthieu Dupont – Photographie vient de paraitre à Septéditions artisan éditeur en Ardèche.
Certains partent à l’autre bout du monde pour en prendre plein les yeux. Le « bout du monde » du photographe ardéchois Matthieu Dupont se trouve à quelques kilomètres de chez-lui. Juste là, tout près. Derrière une montagne pas encore gravée ou de l’autre côté d’une rivière jamais traversée.Depuis plus de 20 ans, ce photographe discret, perfectionniste et attachant pose son regard tendre et émerveillé sur son Ardèche natale. Sa curiosité, son amour de la nature et des grands espaces l’entraînent hors des sentiers battus. »Plaisirs d’Ardèche » est le premier livre de Matthieu. Il est le fruit gouleyant d’une infatigable quête de lumières, d’images et « d’orgasmes oculaires » !Riche de 155 photos, cet ouvrage est un voyage au cœur de l’Ardèche panoramique, blanche, rafraîchissante, villageoise, sportive, gourmande et rebelle. Une histoire de « Plaisirs d’Ardèche » partagés…
Paris, janvier 1974. Alors qu’une tempête s’abat sur l’Europe occidentale, la police judiciaire parisienne découvre le cadavre d’un homme sur l’échangeur du périphérique de la porte de Bagnolet. La victime, un étudiant maoïste issu d’une bonne famille, a été torturée et mutilée. L’enquête est confiée à l’inspecteur Eperlan. Dans les pas du jeune homme, Eperlan ira d’une luxueuse villa du Vésinet, aux cercles de jeux de la capitale, en passant par le campus de Vincennes, haut lieu du gauchisme.
Une jeune femme apparaît bientôt dans le sillage du cadavre : l’énigmatique Alexia Zorn, qui vient tout juste de fuir Paris, deux tueurs de la pègre à ses trousses. D’autocar en autostop, munie d’un Browning et d’un sac bourré de billets, elle rejoint les Cévennes ardéchoises. Dans ce paysage de neige perdu au milieu des montagnes, elle tente de se mettre au vert, avec pour seule compagnie intermittente un vieux paysan bourru.
Au coeur de ce tableau enneigé se tapit le menaçant Müll, homme du SAC (Service d’Action Civique), tout juste rentré du Maroc avec un chargement de cocaïne.
Ces trois destins sont inexorablement mêlés. Pour Eperlan, la question reste de savoir comment. Et jusqu’à quand.
288 pages
14€90
Lire une de ces chroniques chaque matin au réveil permet d’aborder la journée en mettant un peu de piment dans son plaisir d’être. Mais attention aux estomacs fragiles: certaines de ces histoires sont fortement acidulées.
Chronique du monde d’après de Benoît Pastisson (Editions Ma bastide)
345 pages
15€
Après avoir caché des cadavres dans les placards de Mamie Luger,
Benoît Philippon revient avec une prise d’otages dans un hôtel miteux orchestrée par un père dont la garde de sa fille vient de lui être retirée…Une magnifique galerie de portraits et de scènes rocambolesques. »L’histoire d’un loser qui n’a plus rien à perdre ».
« Petiote » de Benoît Philippon, chez Equinox
375pages
19€90
#VibreLivre
Caroline Lamarche accompagne sa mère nonagénaire sur sa fin de vie.
Elle nous raconte ce lent déclin, cette relation ambivalente entre une mère devenue vulnérable et la rebelle de la famille avec un humour tendre et émouvant et avec un ton subtil et juste.
« La fin des abeilles » de Caroline Lamarche, Gallimard la Blanche
198 pages
22€50
Petit prospectus à l’usage de « ce qui ne peut être volé », Cynthia Fleury et Antoine Fenoglio créent la charte du Verstohlen afin de préserver notre humanité…
par exemple le droit à un horizon ou le droit au silence.
« Ce qui ne peut être volé : charte du Verstohlen » d’Antoine Fenoglio, Cynthia Fleury, Tracts de chez Gallimard
48 pages
4€90
#VibreLivre
Les « toutes », créatures aux formes changeantes et muettes cohabitent avec les humains.
Mais à leur contact, certains héritent de mystérieuses facultés. Ils peuvent déformer leur corps à volonté et surtout communiquer avec les « toutes »…Une BD aux images aussi marquantes que dérangeantes.
La part merveilleuse t.2 ; les yeux de Juliette et La part merveilleuse t.1 ; les mains d’Orsay deRuppert et Jérôme Mulot, chez Dargaud
136/156 pages
22€50