Rencontres avec des auteurs de tous horizons et des ateliers autour du livre et de la lecture.
Mercredi 23 octobre à 19h rencontres et lectures avec Bruno AUBOIRON; Simon BUGNON et Sébastien GAYET pour: REMARQUABLES, des Arbres, des Femmes et des Hommes en Ardèche
Un beau livre consacré aux arbres remarquables d’Ardèche mais également à des Ardéchoises et des Ardéchois qui connaissent très bien les arbres et qui, dans leurs activités professionnelles ou leur loisirs, entretiennent une relation privilégiée et intime avec eux.
Samedi 19 octobre, la librairie sera hors les murs pour le mini-festival « Éclats de Mots »
Le mini-festival proposé et organisé par la Bobine sera centré sur la richesse de la langue française, variété de l’emploi de ses mots, par différents modes…sous toutes formes. Pour ce faire: des mini-conférences sur l’étymologie des mots, un atelier d’écriture, des lectures (humour et poésie), un extrait de la pièce de théâtre de Becket « Oh les Beaux jours » ainsi que le spectacle de Mr MO: ‘les Mots Tri-Côtés’.Scène ouverte. Stand de livres de la libraire du Château. Une petite restauration et une buvette seront proposées.
Vendredi 18 octobre à 19h30, la librairie sera hors les murs pour une conférence de Lytta BASSET
Que faire de la colère?
Conférence de Lytta BASSET , organisée par l’Église Protestante Unie de France Ardèche Méridionale et Anna DAEM -Psychopraticienne L’écrit en corps.
Lytta BASSET est philosophe et théologienne protestante en accompagnement psycho spirituel, à l’Université de Neuchâtel (Suisse). Professeure de théologie, après avoir été pasteure pendant dix-sept ans, Lytta BASSET est spécialiste des questions du pardon et de la culpabilité. Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages, que nous auront le plaisir de présenter.
Renseignements et lieu de la conférence: à l’église réformée, 30 allée de la Guinguette à Aubenas ou au: 0638476409.
Samedi 14 septembre de 10h à 12h30: Rencontre dédicace avec Nathalie LEFEVRE.
« Ce livre n’est pas qu’un livre, c’est une invitation à séduire votre destinée et à créer la magie. Au cours de ma vie, face à des situations dont l’issue positive semblait impossible, j’ai inscrit dans le présent les perspectives d’un futur qui aille dans mon sens. Comme on écrit un livre dont on choisirait les conclusions mais jamais les étapes ni les péripéties, j’ai écrit ma destinée… »
Nathalie Lefèvre est journaliste, coach et auteure. Elle dirige Radio Médecine Douce depuis plusieurs années et se considère comme une cheffe d’entreprise inspirée. Elle anime également des formations en ligne, des conférences et différents événements où elle propose des outils concrets pour avoir une vie harmonieuse avec soi-même et avec les autres. Elle partage sa vie entre Paris et l’Ardèche.
Vendredi 13 septembre à 19h: Rencontre dédicace avec Anna DAEM
Anna DAEM a choisi la librairie du château pour présenter son dernier recueil de poèmes: « Page Blanche »,
un cheminement de dialogues et de réflexions intimes, poétiques, symboliques et didactiques. Ce recueil « Inclassable! », enrichi par des photographies de Justine COLLOMB propose des ressources possibles pour grandir et guérir les cœurs blessés, en particulier dans les relations avec les plus proches: familiales, amoureuses et amicales, toutes sont souffles et tourbillons du vie-vent.
Samedi 7 septembre de 10h à 12h30: Rencontre dédicace avec René MOULIN
Le Dictionnaire inattendu de l’Ardèche se présente comme une œuvre rafraîchissante et innovante dans le paysage littéraire régionaliste. Malgré une abondance de publications sur l’Ardèche, cet ouvrage parvient à renouveler l’intérêt avec une approche originale qui mêle histoire et anecdotes.;Il s’adresse à un public varié, des érudits aux curieux, et promet de surprendre même les plus sceptiques quant à la capacité d’un livre à offrir du neuf sur un sujet aussi vaste que l’Ardèche.
Samedi 24 août de 10h à 12h30: Rencontres dédicaces d’Alice LACOUR et Yves PAGANELLI
Alice LACOUR dédicacera: « À la croisée de chemins de vies ardéchoises », un éventail de parcours aux destins multiples souvent entremêlés d’un fil conducteur. Alice LACOUR a brossé sur son chemin le portrait d’une trentaine de personnes étonnantes.
A la croisée de chemins de vies Ardéchoises d’Alice LACOUR aux éditions du Sac à dos – 22€
Et
Yves PAGANELLI dédicacera: Il était une soie , l’histoire vraie de la soie et de ses routes menant en Ardèche racontée par Yves PAGANELLI et illustrée par Roland HOURS.
Il était une soie d’Yves PAGANELLI et Rolland HOURS aux éditions de la Calade – 14€90
Mercredi 10 juillet de 18h à 20h : Et si les livres nous parlaient…
Nous vous proposons une expérience hors du commun pour une lecture rien que pour vous…
Vous aimez que l’on vous fasse la lecture, vous souhaitez découvrir des livres que d’autres ont aimé, laissez-vous surprendre, pour les grands et les petits.
Venez partager un moment convivial autour du livre.
Entrée libre et gratuite
Mercredi 3 juillet à partir de 19h spectacle poétique et musical de SILLAGES
« Nous sommes un duo composé de Phosphore, poète (venu du rap et du slam) et de Gabriel, trompettiste (accompagné d’une boîte à rythme) ; nous avons créé un spectacle de poèmes en musique, entre jazz et hip-hop.
Il nous tient à cœur de jouer Sillages dans des lieux intimistes, propices à l’écoute des poèmes. Au début du spectacle, Phosphore fait le plein d’une pile de livres ; plus tard, par-ci par-là, entrecoupant ses propres mots, il lira des vers de Mahmoud Darwich, Salima Aït Mohamed et Antonio Machado. À l’issue du concert, le public pourra (re)découvrir leurs œuvres : La terre nous est étroite, l’Anthologie de la poésie algérienne, Chants de Castille…
Pour plus d’informations, cliquez ici. »
Entrée libre et spectacle au chapeau
Samedi 25 mai à partir de 10h rencontre et signature du dernier ouvrage d’Alexis BLUMBERGS
« C’est en 2013 que j’entends parler de cette histoire pour la première fois. D’abord connue dans la région comme « L’affaire » ou « La tragédie de Thines », elle est rapidement rebaptisée « Première bataille d’Ardèche » par les historiens du fait de sa dimension hors normes et de son retentissement. » Alexis BLUMBERGS
Nous sommes à l’été 1943. La cellule « Max », de la Résistance Française, envoie 8 Francs-tireurs Partisans dans un hameau ardéchois. Organisée en coopération avec l’OSS, les services secrets américains de l’époque, leur mission consiste à réceptionner un parachutage allié. S’ils y parviennent, la région Sud pourra enfin passer à l’action : avec des armes, des munitions, de l’argent liquide et des émetteurs-récepteurs radio, les maquisards auront la possibilité de résister et de se battre contre l’occupant allemand. Huit hommes sont recrutés dans la Drôme et dépêchés à Tastevin, proche du hameau de Thines. Ils sont idéalistes, déterminés mais peu expérimentés. Ils ont entre 19 et 21 ans. Alors qu”ils préparent la réception du parachutage, un agent français de la Gestapo se lance sur leurs traces.
La soie et le fusil s’efforce de rester fidèle aux faits tels qu’ils ont été rapportés par les historiens. Par conséquent la chronologie, les personnages, les lieux, tout est vrai. Cependant, le croisement des principaux ouvrages consacrés à l’événement fait montre de contradictions régulières, parfois énormes, autour de mêmes faits, de mêmes dates, voire à propos de l’identité de certains des protagonistes.
L’intégrité de “La tragédie de Thines” ne semble pas avoir résisté à l’épreuve du temps ni aux secrets bien gardés. Et lorsque l’Histoire contient de tels trous de mémoire, la fiction n’a-t-elle pas le droit, sinon le devoir, de les combler? Un nombre limité de libertés romanesques ont donc été prises. Pour tenter de rendre compte de la vie des français au quotidien, des personnages secondaires ont été créés. Certains civils aident la résistance, d’autres pas ou malgré eux, certains enfin travaillent pour la SD-SIPO, le service d’espionnage allemand.
Aujourd’hui, alors que la région commémore les 81 ans de la “Première bataille d’Ardèche”,
ce récit souhaite rendre hommage à ses principaux acteurs : des hommes
jeunes et idéalistes, prêts à mourir pour libérer la France. Et, au-delà
d’eux, à l’ensemble des résistants. » Alexis BLUMBERGS
Après
une scolarité effectuée au Maroc, Alexis BLUMBERGS fait des études de
langue et de littérature en France, au Moyen-Orient et en
Amérique latine. En 2009, il décide de rentrer pour s’installer à
Paris. À vingt-sept
ans, il publie « La Tristesse des Mandarines », son
premier roman. Sa vie tourne à présent autour de la littérature et
de l’écriture de romans. “La soie et le fusil – La tragédie de Thines”
est son deuxième roman. Un troisième roman : “Fuck Fake : une histoire
américaine”, est en cours de publication et un quatrième en cours de
rédaction.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
« La soie et le fusil: la tragédie de Thines » d’Alexis BLUMBERGS, aux éditions Complicités, 18€
Vendredi 19 avril à 19h conférence de Pascale LANDOU et samedi 20 avril à partir de 10h signature du dernier ouvrage de Pascale LANDOU
Dans ce Guide Pratique, Pascale LANDOU nous explique que la Communication Animale est accessible à chacun d’entre nous : ce n’est pas un don, c’est une capacité que l’Homme partage avec les animaux, mais que la plupart d’entre nous a simplement oublié.
Son but est de permettre à tous ceux qui le souhaitent d’entendre, par eux-mêmes, les messages de leurs animaux. En les comprenant mieux, nous les aimerons mieux. Leurs conseils de vie et leur sagesse vous étonneront !
« Le Guide Pratique de la Communication Animale » de Pascale LANDOU-23€
entrée libre et gratuite.
Samedi 13 avril à partir de 10h rencontre-signature du dernier ouvrage de Magali BRENON.
Le premier livre de dessins de l’écrivaine Magali BRENON, un
corpus développé depuis plusieurs années, entre dessin automatique,
collage, assemblage, enluminure ou graffiti, qui accompagne son
quotidien et son travail d’écriture, consignant une chronologie
parallèle et éclatée.
Ici, le dessin sature et recouvre tout : enveloppes, factures, tickets
de caisse, prospectus ou journaux ; tout ce qui fait effraction dans
l’économie des jours et diffère le travail d’écriture.
Sur leurs supports hétérogènes, frappés par l’imprimerie, datés par des tampons ou par la mémoire du détail ou du travail, ces dessins accueillent aussi les recherches liées à l’écriture d’un livre en cours. Des recherches sans cesse percutées par les choses à faire, à dire, à penser ou à acheter, qui arrivent en cascade et leur opposent des listes dont il faut venir à bout. Puisque la nécessité d’écrire ne se tait jamais, elle déploie sur les compressions du temps tout son potentiel de fiction.
Magali BRENON (née en 1975) est éditrice et écrivaine. Elle a publié deux romans, « J’attends Mehdi » et « Jamais par une telle nuit » (Le mot et le reste, 2009 et 2014), ainsi que de nombreux textes parus dans des éditions d’artiste, des catalogues et des revues. Dans le cadre de son travail d’écriture elle collabore régulièrement avec des artistes et des musiciens.
Jeudi 4 avril à 19h café littéraire avec des lectures du dernier ouvrage de Michèle SOULLIER
Après « Figures & figurants, rencontres de parloirs » Michèle SOULLIER revient nous présenter son nouvel ouvrage « Elle, août 1957 », un récit autobiographique où l’auteure nous emméne à la rencontre de ceux qui l’ont précédée: parents, grand-parents et arrières, pour nous plonger dans leurs existences laborieuses au coeur du terroir ardéchois, avec en toile de fond les conflits mondiaux et les souffrances « collatérales ».
Elle revisite la période des Trente Glorieuses dans laquelle se situe son enfance, son adolescence, une époque où « tout est possible, tout est permis ». Puis les années quatre-vingt à quatre-vingt-dix, les années business. Des portraits de celles et ceux qui ont croisé son chemin, des évènements ponctuent ces époques, ainsi que les enjeux politiques et sociaux qui les traversent, mais toujours avec un regard depuis l’ici et maintenant, où les questions environnementales sont devenue incontournables.
Michèle SOULLIER est native de l’Ardèche où elle vit actuellement, elle a exercé divers métiers, vécu dans différents lieux du globe. Elle écrit depuis de nombreuses années, a participé et animé des ateliers d’écriture. Elle consacre désormais son temps à l’écriture.
(entrée libre et gratuite).
« Elle, août 1957 » de Michèle SOULLIER 18€50
Jeudi 7 mars à 19h café littéraire spécial printemps des poètes.
Il faudra des milliers d’années pour que les déchets d’uranium ne soient plus mortels. Il faudra beaucoup plus, avant qu’un poème cesse d’irradier par son silence un lecteur de hasard (le muguet rouge de Christian Bobin).
Jeudi 7 mars à 19h, venez faire le plein de poésie en écoutant des textes choisis par le groupe de lecture; Jeanne Benameur, Christian Bobin, Mireille Fargier-Caruso, Pablo Neruda, Andrée Chédid, Maya Angelou, Jean-Pierre Siméon, etc…Vous pourrez ensuite lire des poèmes de votre choix ou simplement écouter. (entrée libre et gratuite).
(entrée libre et gratuite).
Samedi 30 décembre à partir de 10h, rencontre et dédicace du premier roman de Clémence RENARD.
A travers les portraits de trois personnages sous l’emprise constante du numérique, Clémence Renard nous les dévoile par le prisme d’une lucarne comme à travers l’œil du cyclone. Elle décrit les ravages de ces dépendances comme l’ouragan qui traverse Chicago… Cette déferlante aux addictions numériques entremêle les émotions de ces personnages avec la nature qui se déchaine.
Samedi 16 décembre à partir de 10h, rencontres et dédicaces d’Alice LACOUR et d’Yves PAGANELLI pour leurs derniers ouvrages.
Alice LACOUR dédicacera: « À la croisée de chemins de vies ardéchoises »,un éventail de parcours aux destins multiples souvent entremêlés d’un fil conducteur. Alice Lacour a brossé sur son chemin le portrait d’une trentaine de personnes étonnantes.
A la croisée de chemins de vies Ardéchoises d’Alice LACOUR aux éditions du Sac à dos – 22€
Et
Yves PAGANELLI dédicacera: « Il était une soie« ,
l’histoire vraie de la soie
et de ses routes menant en Ardèche racontée par Yves Paganelli et
illustrée par Roland Hours.
Il était une soie d’Yves PAGANELLI et Rolland HOURS
aux éditions de la
Calade – 14€90
Mardi 07 novembre à partir de 19h, table ronde et discussion sur l’écologie et la résistance
Une table ronde en présence de: Louise POMMERET, auteure de « Dessous la dure écorce », aux éditions de l’Aube; Jean-Marc GHITTI, essayiste, philosophe, auteur d’ »Avec et par delà l’écologie », aux éditions Kime, les éditions de la Lenteur: La subsistance et Florent GOUGET représentant la revue L’INVENTAIRE.
La table ronde sera suivie d’une discussion avec l’assistance, entrée libre.
Samedi 21 octobre à partir de 10h, signature avec Nicole FAUCON-PELLET pour son dernier ouvrage: « La roue de l’Espan ».
Très jeune, Nicole Faucon-Pellet découvre l’écriture : une passion qui ne la quittera plus. Elle vit aujourd’hui à Saint-Remèze, en Ardèche du Sud.
« A la ferme de l’Espan, les Mérilhac mènent une vie paisible lorsqu’un événement tragique frappe avec la mort de Nicolas, le dernier né, entrainant la faillite du domaine, la dépression du père et le démantèlement de la famille. Adrien, l’aîné, trouve refuge au Peyrou, une petite maison léguée par son oncle Joseph. De là, hormis les levers de soleil sur le Mont-Ventoux, il observe le ballet des huissiers et la lente dégradation de sa ferme natale. Désirant reconquérir sa dignité et venger ce petit frère injustement puni, il n’a qu’un seul but: réhabiliter l’Espan victime d’une mauvaise réputation. Empruntant des chemins tortueux, obnubilé par son idée fixe, Adrien parviendra à redonner au domaine ses lettres de noblesse.
Jeudi 12 octobre à partir de 19h, rencontre avec Anna DAEM pour son dernier ouvrage: « Méditations des sept directions, en Terra Incognita».
Ce livre objet précieux dans le fond et la forme crée du lien avec l’inconnu et l’imprévu et est avant tout un livre ressource.
A partir d’instants présents, « Je propose d’oser faire commun entre l’homme, l’animal, le végétal et le minéral là où les mots et le silence font lien entre visible et invisible… »
Oserez-vous cheminer à partir de l’infiniment petit vers l’infiniment grand ?
A chacun de découvrir son propre rythme, ses propres battements de cœur, sa propre direction.
Jeudi 5 octobre à partir de 19h, rencontre avec Yves BICHET pour son dernier ouvrage: « Le premier combat ».
YVES BICHET a été salarié agricole puis artisan du bâtiment pendant, plus d’une vingtaine d’années. Il se consacre désormais entièrement à l’écriture. Il est l’auteur de nombreux ouvrages, La Part animale, L’homme qui marche et L’été contraire.
« Et si, pour assurer à la France un avenir éthique, on s’en remettait à l’Ennuye, fantasque rivière de montagne qui arrose Foncouverte, dans la vallée du Rhône, et sa population en marge ? Sous la menace d’un site nucléaire à la sécurité défaillante et de décisions administratives arbitraires, la petite communauté va se fissurer. Car les autorités refusent d’accueillir Emir, venu de Conakry, interdisent toute transparence sur les accidents de la centrale et chargent les jeunes manifestants au risque de les mutiler. A ces injustices répondra la fougue de gamins cabossés – Emir, donc ; Liseron, qui l’aime mais console Raoult, le héros éborgné – et la déraisonnable obstination de quelques adultes : Canine, infirmière élue à la mairie, et bientôt à la députation ; Corentin, instituteur dont la compagne seconde l’édile, parti batailler contre un exécutif obtus, avec le soutien d’un militaire à la retraite sans langue de bois. Peut-on encore espérer du politique sans renverser la table ? Ecouter la nature et en accepter le message sans rompre avec des usages auxquels nul ne croit plus ? Plus que de la fable, Le Premier Combat, d’Yves Bichet, dont on a savouré cet hiver La Beauté du geste (Le Pommier), tient du roman d’anticipation, du manifeste pour une autre gouvernance, et du plaidoyer pour une refondation démocratique. » Le Monde des livres Ph.-J. C.
Samedi 30 septembre à partir de 10h, rencontre avec Alice Lacour pour son dernier ouvrage « A la croisée de chemins de vie ardéchoises ».
Un éventail de parcours aux destins multiples souvent entremêlés d’un fil conducteur. Alice Lacour a brossé sur son chemin le portrait d’une trentaine de personnes étonnantes.
Peut-être les connaissez-vous ? Les avez-vous croisées ? Ouvrez l’ouvrage, tournez les pages, goûtez à ce breuvage infusé par les mots. Cachées de-ci, de-là, quelques dates anniversaire sur cette année 2023. Découvrez-les…
Jeudi 21 septembre à partir de 19h, présentation de notre rentrée littéraire.
Accompagné du groupe de lecture de la librairie, nous vous présenterons nos coups de coeur de la rentrée littéraire.
Jeudi 14 septembre à partir de 19h, rencontre avec Frédéric Ploussard pour son dernier ouvrage « Tout blanc ».
Lectures, signatures et rencontre avec Frédéric Ploussard l’auteur de « Tout blanc » et « Mobylette ».
Jeudi 7 septembre à partir de 19h , rencontre/lecture et signature avec Mireille Fargier-Caruso pour son recueil de poésie «Vivre».
Elle dit l’absence que l’on tente d’apprivoiser, la conscience aiguë de nos limites, le réel qui nous rattrape. Elle dit les paysages de l’enfance, ce territoire si proche où parfois l’on s’égare. Elle dit le visage qui vieillit dans le reflet du miroir. Surtout, elle s’interroge : « où vont les notes les arpèges ? les instants d’avant ? nos utopies échouées dans la boue ? ». Mais malgré les doutes et l’inquiétude face aux jours éphémères, la « vraie joie » est toujours possible. Et dans les moments d’amour, quand « mourir alors n’a plus la même importance », la poésie devient le lieu où s’exprime notre » désir fou de durer », et la langue cet espace qui nous permet de rassembler tous les âges d’une vie pour enfin « transmettre la ferveur faute d’éternité». Une invitation à creuser chaque jour qui passe, pour y trouver la lumière.
Vivre de Martine Fargier-Caruso aux éditions Bruno Doucey – 96 pages – 15€
Samedi 26 août de 10h à 12h, rencontre avec Mario Morisi pour son dernier ouvrage « Traité de savoir où ».
« Ce n’est ni une autobiographie, ni une autofiction mais tout est réel. Chaque texte est écrit par un alias. Une sorte d’autre moi. Désormais tous sont revenus… » observe, amusé mais avec le sens de la formule qui le caractérise, l’ancien journaliste.
L’ouvrage prend tour à tour des tonalités poétiques, surréalistes, explosives, parfois plus spirituelles. Ou encore nostalgiques comme le conte d’enfant du premier chapitre, courte nouvelle d’introduction.Bref, un savoureux recueil de « volontés discordantes », et des nombreuses contradictions existentielles qui nous habitent tous, plus ou moins…
Samedi 19 août de 10h à 12h, rencontre avec Yves Paganelli pour son dernier ouvrage « Il était une soie ».
L’histoire vraie de la soie et de ses routes menant en Ardèche racontée par Yves Paganelli et illustrée par Roland Hours.
« Il était une soie » d’Yves Paganelli et illustrée par Roland Hours, aux éditions de la Callade. 14€90 €
Samedi 12 août de 10h à 12h, rencontre avec Alain Chevalier pour son dernier ouvrage: » Yokosuka, à l’ombre du Japon moderne: Léonce Verny ».
Septembre 2015. Au cours d’une réunion de quelques amoureux de l’histoire locale d’Aubenas Alain Chevalier a été interpellé pour présenter la vie de son arrière-grand-père, Léonce Verny, à l’occasion du 150e anniversaire de la fondation de l’arsenal de Yokosuka situé un peu au sud de Tokyo et Yokohama…
Dans la continuité de l’exposition qui fut présentée, Alain Chevalier publie avec les Amis de la bibliothèque de Polytechnique un album remarquablement illustré sur l’impact de cette fondation dans l’histoire du Japon et des relations internationales. Cette publication a reçu un très bon accueil à l’École polytechnique, l’Académie de Marine, les Musées nationaux de la Marine et dans les réseaux de l’Armement.
« Yokosuka à l’aube du Japon moderne : Léonce Verny » d’Alain Chevalier. Préfaces du Président de Polytechnique et du maire de Yokosuka,
postface du Maire d’Aubenas
160 pages couleur au format paysage A4.
Prix public : 32 €.
Samedi 5 août de 10h à 12h, rencontre avec Liliane Gimbert pour son dernier ouvrage, un polar ardéchois: » Elle plantait des arbres ».
Près de la Loire, la maison du pont de Laborie a rouvert ses volets, rachetée par deux jeunes gens Augustin et Anna. Sous les arches construites depuis plus d’un siècle, les guerres ont passé, le batelier n’est plus de ce monde, et les meules du moulin se sont tues. Pourtant, les âmes des disparus ont imprégné les pierres. Et le corps d’un homme, échoué sur le sable de la rivière, réveille les fantômes…
… »Elle plantait des arbres » oscille entre polar écologique et récit historique. Un roman qui se veut le reflet de notre société, tiraillée entre modernité et enjeux environnementaux.
« Elle plantait des arbres » de Liliane Gimbert, aux éditions de la Calade.
142 pages – 17€50
Samedi 29 juillet de 10h à 12h, rencontre avec Benoît Pastisson pour son dernier ouvrage « Fariboles et Balivernes ».
Ces 365 histoires sont à lire dans l’ordre ou le désordre : une par jour ! Certaines donnent un regard à la fois amusé et décalé sur notre époque, d’autres saisissent des instants insolites surpris dans la rue ou des situations tordues que nous vivons sans y prêter attention. Elles décortiquent ce que nous ne voyons pas, elles grattent l’inattendu, elles surprennent en fouillant l’improbable.
Voici quelques exemples pris au hasard : on découvre pourquoi
Rostropovitch aurait mieux fait de ne jamais être connu, l’étonnante
origine du mot « avocat », une façon inhabituelle de casser un œuf dur,
un texte quasiment impossible à apprendre pour un comédien, le moyen de
traverser Paris en paquebot, la raison pour laquelle les parapets
ardéchois ont le dessus arrondi, le pays qui détient le plus de
prisonniers au monde. On est surpris du point commun qui unit Cyrano de
Bergerac et Dracula. On apprend quelle utilité donner aux bouchons des
valves des chambres à air de vélos. On trouve aussi un regard amusé sur
la façon dont les relations entre les hommes et les femmes évoluent.
Chacun
se remémorera avec émotions des situations vécues et malheureusement
oubliées, des détails disparus mais tellement importants, des instants
de vie magnifiques que nous rencontrons sans toujours les remarquer.
Dans ce livre, tout est vrai, surtout ce qui est faux.
Fariboles et Balivernes, de Benoît Pastisson, aux éditions du Châtaignier. 378 pages – 20€
Les samedis d’été
Samedi 24 juin, en matinée: dédicace de Jean-Marc Ghitti pour son dernier ouvrage philosophique « Avec et par delà l’écologie : la Camargue ».
.Jean-Marc Ghitti est un philosophe, romancier et poète français d’origine italienne. Il vit et enseigne la philosophie en Haute-Loire.Cet essai de philosophie définit l’écologie comme l’engagement pour sauver la Terre, lieu par lieu. Par souci du concret, il se consacre à la Camargue, en tant qu’elle est à la fois un pays menacé par le réchauffement climatique et l’exemple d’une réussite de l’écologie française. Sur ce cas singulier, il oppose l’écologie et la politique : il n’y a pas d’écologie politique. Sur fond de la crise de la représentation politique, il élabore autrement le concept de représentation. Il propose une écologie élargie, complète, entre anthropologie générale, théologie et psychanalyse. Avec et par delà l’écologie, il soutient qu’on ne peut sauver chaque lieu de la Terre que si on leur rend leur pleine valeur. Aussi l’écologie doit-elle s’appuyer sur une poétique de la célébration des pays et sur une réévaluation de la littérature. C’est pourquoi cet essai étudie la Camargue à travers ses représentations littéraires chez Mistral, Barrès, Baroncelli et Montherlant. Dans ce corpus poétique de la Camargue, le présent essai dessine le partage entre la politique et l’écologie. Il met particulièrement en évidence la figure de Folco de Baroncelli comme celle d’un guide et d’un précurseur d’une écologie d’avenir, à la fois concrète et spirituelle. Il s’efforce de tenir ensemble une enquête monographique sur l’histoire écologique d’un pays aimé de tous et une construction conceptuelle générale, pertinente pour tout autre lieu. * Le corps du texte se présente comme une succession de paragraphes dont le titre indique le concept général mis au travail. La méditation se construit au fil d’une étude des œuvres littéraires qui servent d’appui. Ce corps principal de la recherche est enserré entre une introduction et une conclusion évoquant la catastrophe qui menace la Camargue, notre objet d’étude. Enfin, l’ensemble est précédé d’un préambule et suivi d’un épilogue qui posent les questions les plus générales de notre approche philosophique.
« Avec et par delà l’écologie : la Camargue » de Jean-Marc Ghitti, aux éditions Kimé.
150 pages
20€
La librairie sera exceptionnellement fermée le mercredi 7 juin de 9h30 à 12h30.
Exception qui confirme la règle: Le prochain café littéraire aura exceptionnellement lieu le premier vendredi du mois (et non le jeudi), soit le vendredi 5 mai à 19h, venez rencontrer Steve Wilifrid Mounguengui pour son dernier ouvrage: « Tu as fait de moi celui qui enjambe le monde ».
Stève Wilifrid Mounguengui quitte le Gabon et arrive en France à l’âge de 25 ans pour faire des études de philosophie. Avant de partir, il dit à sa mère qu’un seul mot d’elle pourrait le faire rester au Gabon, mais elle insiste : « Pars mon enfant, pars aussi loin que possible. Reste là-bas, l’essentiel est de réussir à vivre. Peu importe l’endroit où tu vis… Promets-moi que tu ne reviendras pas. Promets-moi. Quand tu pleureras de France je t’entendrai.» Il ne la reverra jamais, morte au pays avant qu’il ne puisse y revenir. À défaut de pouvoir enterrer sa mère, le poète lui construit un tombeau de mots.
Depuis toujours, Stève Wilifrid Mounguengui rêvait de la France, découverte à travers ses lectures innombrables, comme celles de Marcel Pagnol dont les paysages lui rappelaient ceux de Mouila, sa ville natale. « Lui aussi chassait comme moi, lui aussi avait un père bon instituteur et piètre chasseur du dimanche. Lui aussi habitait le château de sa mère.» D’une vaste écriture poétique, il parle de son arrivée en banlieue parisienne, de la façon dont il écrit, le matin à l’aube, dans le RER, lorsqu’il se rend au travail. Il raconte, comme un paradis perdu mais toujours enchanteur, son enfance au Gabon auprès de ses parents et de ses frères et sœurs, l’enfant des champs, l’étendue des plaines en lui, le chant des oiseaux, la lueur des lucioles… autant de tableaux somptueux d’une enfance simple auprès d’une mère courage, personnage charismatique et généreux, qui s’oublie pour faire le bien autour d’elle.
A bientôt
Rencontre du 06 avril avec Yves Bichet pour son ouvrage: « La beauté du geste ».
On parle de nous au 19/20 National de France 3 du mardi 14 mars et France Info:
Rejoignez-nous le 18 et 19 mars au carrefour Européen du 9ème Art et de l’image à l’espace Lienhart à Aubenas.
Au programme: dédicaces; expositions; ateliers, mais aussi projection au cinéma le Navire et concert à l’Agora.
La librairie vous proposera tous les livres des auteurs présents…
à bientôt.
Renseignements: https://www.facebook.com/aubenasBD
Ouverture d’un café littéraire à la librairie.
Dès le jeudi 2 février à 19h et chaque premier jeudi du mois, venez partager vos lectures ou venez simplement écouter les lecteurs en buvant une tisane, ou un tonic avec une collation, suivant l’humeur (entrée libre).
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
Le vendredi 20 janvier à 19h30 à la librairie,
venez participer à la nuit de la lecture , entrée libre ouverte à toutes et à tous, venez partager un moment convivial autour de textes lus ou écoutés ayant comme thématique la peur!
Pour davantage de renseignements: librairie du château: 04 75 35 26 20.
Le vendredi 23 décembre en matinée, rencontre dédicace avec Jean Tirelli qui viendra nous présenter son dernier ouvrage,
Jean Tirelli a vécu durant quinze années dans les vallées perdues de l’Ardèche méridionale.
Il y est arrivé en 1976 emporté par la deuxième vague d’immigration d’une jeunesse folle et joyeuse qui voulait vivre autrement. Après de nombreux chambardements dans sa vie, il finit ses études à Aix en Provence et exerça comme psychologue dans des institutions pour enfants et pour personnes âgées. Durant douze années il fut maire d’une petite commune de la moyenne montagne ardéchoise.
Le vendredi 16 décembre en soirée rencontre et dédicace avec Corinne Morel Darleux pour La sauvagière(Editions Dalva).
Elle se souvient comme dans un rêve de l’accident, du choc sur l’asphalte. Quand elle reprend connaissance, elle est loin des sollicitations constantes de la ville et de son agitation, à l’abri d’une maison forestière nichée au cœur des montagnes.
À ses côtés, Jeanne, Stella et la forêt profonde. On parle peu ici. Mais tout semble bruisser, se mouvoir et palpiter d’une force étrange et magnétique. Ses deux compagnes et la nature alentour se confondent parfois, comme pour mieux l’initier à une autre manière d’être, instinctive et animale. S’en aller, enfin… La Sauvagière est une fable onirique qui nous invite à repenser le lien qui nous unit au monde, loin des constructions et des contingences modernes. Page après page, dans ce premier roman, Corinne Morel Darleux nous plonge dans un univers puissamment poétique où les sens deviennent maîtres et où notre humanité se métamorphose au contact du bois humide et sous les caresses du vent. La langue que déploie l’autrice est le miroir du cheminement de la narratrice : la finesse du vocabulaire rend compte de la richesse des sensations qu’elle découvre une fois libérée du poids de la normalité qu’elle voulait tant fuir. Médiapart.
Le samedi 10 décembre en matinée, rencontre et dédicace avec François Riffard pour L’ange écoute (Éditions de l’Harmattan):
Dans L’Ange écoute, François Riffard, peintre et poète de toutes les heures, se livre à un exercice spirituel. Son recueil en triptyque rend compte d’un combat sans trêve. Des puissances s’affrontent dont la plus barbare est celle du passage inexorable du Temps qui enterre l’enfance, les rites, les civilisations et laisse méconnaissable la ville des rêves anciens. De ces batailles perdues reste le souvenir poignant des avenues disparues et des cérémonies surannées. Mais L’Ange demeure l’allié virginal qui accompagne le peintre dans sa haute retraite. Au poète infatigable, il insuffle la pure musique. Dominique-Pierre Beaufay.
ce samedi 10 décembre en matinée, rencontre et dédicace avec Simon Bugnon pour Conversations silencieuses: au cœur de l’Ardèche sauvage (Éditions Hozhoni):
En décrivant son approche et sa vie de photographe naturaliste, Simon BUGNON affirme dans ce livre intimiste qu’une autre attitude à l’égard de la nature est devenue un impératif pour la survie du monde. Tout en se dévoilant pudiquement, il nous convie à un voyage poétique dans un univers caché et infini, celui des herbes, des abords de ruisseaux, des monts et des cascades de l’Ardèche sèche jusqu’aux plus hauts plateaux parcourus par la burle glacée…Derrière les images glanées lors de ses cueillettes photographiques, on devine le temps passé en silence à honorer des rendez-vous impromptus avec un éclat de lumière ou d’êtres qui habitent le monde autrement que nous.Le photographe a laissé s’éloigner les rêves de contrées lointaines pour fréquenter avec assiduité l’Ardèche sauvage afin d’en percer les plus beaux secrets en réapprenant sans cesse à regarder et à admirer.Un livre somptueux sur l’émerveillement qui est aussi un ouvrage de réflexion nourri de citations ciselées, enrichi par la plume de Solenne MULLER, naturaliste inspirée qui fait offrande de neuf excursus délicats.
A bientôt!
Samedi 26 novembre, en matinée: rencontre et dédicace avec Alice Lacour
La plume d’Alice est joueuse. Dans un foisonnement de mots et de maux, comment va-t-elle mener l’intrigue? A l’orée de l’automne… Que s’est-il passé dans le coeur du village de Vogüé, dans les entrailles du vieux château?
Le mardi 22 novembre à 19h, présentation de la revue l’inventaire avec Florent Gouget.
Florent Gouget, professeur de lettres en Ardèche et membre de la rédaction de la revue: l’inventaire est une revue de critique sociale dont le premier numéro est sorti en novembre 2014.
Chacun peut constater que la part de la vie qui échappe aux rapports marchands, aux procédures industrielles et administratives et à l’appareillage technologique se réduit à presque rien. Il est de plus en plus difficile d’imaginer comment acquérir la maîtrise de nos conditions d’existence : la satisfaction de nos besoins, nos liens avec autrui, les lieux que nous habitons, les activités que nous choisissons ou subissons, les objets qui nous entourent. Face à cette situation, le comité de rédaction de L’Inventaire s’efforce de contribuer à l’élaboration d’une culture critique commune, en diffusant d’anciennes idées, portées par la meilleure part des courants libertaire et écologique, et en en proposant de nouvelles, sous toutes les formes et concernant tous les thèmes qui nous semblent pertinents : du texte documentaire à la littérature, des méfaits de l’informatisation à la disparition des langues vernaculaires. Par la publication de productions originales, de textes d’auteurs méconnus ou mal lus, de traductions et de contributions extérieures, nous espérons faire de cette revue un espace d’échanges et de débats, dans une perspective d’inventaire. Nous étouffons sous le monde que nous avons édifié ; il nous faut absolument arrêter l’emballement et faire le tri de ce qui, dans la vie pratique, le monde matériel et les idées, doit être conservé, reconsidéré ou écarté pour favoriser l’émancipation individuelle et collective.
Du 17 au 20 novembre à la Librairie du Château.
participez à l’opération de solidarité du Secours Populaire « Donnez à lire »: vous choisissez un livre jeunesse dans la librairie, vous l’ajoutez à vos achats, ensuite le livre sera offert à un enfant accompagné par le Secours Populaire.
Le jeudi 15 septembre de 18h à 19h, vous êtes invité.e au pot de rentrée proposé par Valérie Grégis Gusella,
Vous avez déjà participé aux ateliers d’écriture ou aux ateliers de lecture à voix haute?
Vous êtes intéressé.e par les ateliers d’écriture ou de lecture à voix haute? Vous souhaitez partager avec les participants et/ou obtenir des informations relatives aux ateliers?
Autour d’un verre, nous échangerons en présence des « anciens » sur les différents ateliers, nous accueillerons les « nouveaux » et nous vous accueillerons, vous, qui serez juste de passage pour boire un coup et glaner quelques infos… au cas où!
Pour découvrir en amont les prestations de l’association, rendez-vous sur le site www.encorpsentete.com
Le samedi 6 aout en matinée, rencontre et dédicace avec Xavier Boissel pour son dernier polar: « Sommeil de cendres » aux éditions 10/18.
Paris, janvier 1974. Alors qu’une tempête s’abat sur l’Europe occidentale, la police judiciaire parisienne découvre le cadavre d’un homme sur l’échangeur du périphérique de la porte de Bagnolet. La victime, un étudiant maoïste issu d’une bonne famille, a été torturée et mutilée. L’enquête est confiée à l’inspecteur Eperlan. Dans les pas du jeune homme, Eperlan ira d’une luxueuse villa du Vésinet, aux cercles de jeux de la capitale, en passant par le campus de Vincennes, haut lieu du gauchisme.
Une jeune femme apparaît bientôt dans le sillage du cadavre : l’énigmatique Alexia Zorn, qui vient tout juste de fuir Paris, deux tueurs de la pègre à ses trousses. D’autocar en autostop, munie d’un Browning et d’un sac bourré de billets, elle rejoint les Cévennes ardéchoises. Dans ce paysage de neige perdu au milieu des montagnes, elle tente de se mettre au vert, avec pour seule compagnie intermittente un vieux paysan bourru.
Au coeur de ce tableau enneigé se tapit le menaçant Müll, homme du SAC (Service d’Action Civique), tout juste rentré du Maroc avec un chargement de cocaïne.
Ces trois destins sont inexorablement mêlés. Pour Eperlan, la question reste de savoir comment. Et jusqu’à quand.
288 pages
14€90
Le samedi 30 juillet en matinée, rencontre et dédicace avec Benoît Patisson pour Chronique du monde d’après (Editions Ma bastide)
Lire une de ces chroniques chaque matin au réveil permet d’aborder la journée en mettant un peu de piment dans son plaisir d’être. Mais attention aux estomacs fragiles: certaines de ces histoires sont fortement acidulées.
Chronique du monde d’après de Benoît Pastisson aux éditions de ma Bastide
255 pages
15€
Le jeudi 9 juin à 19h: rencontre et dédicace avec Hélène Goninet pour Journal d’une sage femme nature (Mama Editions), elle sera accompagnée du groupe de lecture à voix haute de l’association En corps en tête.
« Journal d’une sage-femme nature, accueillir la vie autrement », ce livre peut se déguster, histoire après histoire, en vous offrant quelques pages de plaisir de temps à autre. Il peut également se dévorer, épris par cette puissante énergie de la Naissance. Il sera une aide précieuse et ressourçante pour les couples en projet ou en attente d’enfants, mais pas seulement !
Car nous sommes tous concernés par la naissance, nous sommes tous nés un jour du ventre, d’une femme. Cet ouvrage est avant tout un témoignage de VIE.
Sage-femme, au cœur de l’intimité des femmes et des familles, Hélène Goninet a passé une partie de sa vie à explorer et accompagner ce passage, à la fois essentiel et universel, unique et « commun », extraordinaire et ordinaire. Arrivée pour remplacer durant 6 mois Jacqueline, sage-femme en invalidité temporaire suite à un accident de voiture, l’Ardèche l’a finalement adoptée. Hélène y est restée, sillonnant ses routes de long en large, s’échappant parfois dans le Gard, la Lozère ou la Haute-Loire, appelée au domicile de femmes, de couples, de familles souhaitant donner la vie simplement. Dans une démarche innovante et sans passéisme, avec leurs compétences humaines, leur amour, leur confiance, leur puissance, sans artifices technologiques, les femmes sont capables des plus beaux exploits ! Merveilleuses histoires émouvantes lovées dans une nature exceptionnelle. Ce journal, « trésor pour ce putain de XXIème siècle » suivant une lectrice conquise, questionne profondément l’évolution de la médicalisation de l’enfantement, sa protocolisation et ses conséquences sur le vivant, loin d’être anodines.
aux édition Mama, 25€
Rencontre le jeudi 7 avril à 19h avec Tom Charbit pour son livre Les sirènes d’Es Vedra (Roman/Seuil), il sera accompagné du groupe de lecture à voix haute de l’association En corps en tête.
Pendant vingt ans, Juan Llosa a fait danser la planète. Toujours entre deux avions, deux soirées, deux gueules de bois, le vibrionnant DJ des Sirènes d’Es Vedra a vécu « deux décennies d’exil et d’excès ». Capable de devancer les désirs du public, de « l’amener à un endroit où il n’aurait jamais pensé aller », il est considéré comme « un esthète du mix, un virtuose des platines ». Est-ce parce que la pandémie a rendu rares les occasions de faire la fête et quelque peu anachroniques les évocations de grandes communions musicales ? Les mots et les rythmes du premier roman très abouti de Tom Charbit résonnent chez le lecteur avec une intensité remarquable. Mais gageons plutôt que la mélancolie puissante qui se dégage de ce texte tient surtout à la lucidité, à la fois tendre et impitoyable, toute d’autodérision, avec laquelle le héros du roman examine sa vie de « fêtard invétéré » et tente de s’inventer un avenir.
Lorsque le lecteur fait sa connaissance, le narrateur a trouvé refuge, en plein hiver, dans un village ardéchois. Contraint de s’éloigner des dancefloors pour soigner ses acouphènes, il goûte difficilement la sobriété des lieux. Il lui faut bien admettre que sa « solide expérience de la fête est une compétence assez peu recherchée » hors du monde de la nuit. Et que sa capacité à expliquer « dans n’importe quelle langue et à n’importe quel point du globe [qu’il a] besoin d’une bière fraîche et d’un gramme de cocaïne » ne suffira pas à lui ouvrir les portes de la sociabilité villageoise. Le roman de Tom Charbit n’est pourtant ni un récit branché sous psychotropes, célébrant d’un air faussement désabusé les nuits sans fin d’Ibiza ou de Berlin, ni une satire du roman néorural. Plutôt l’évocation d’une crise de milieu de vie, qui prend au sérieux la question du sens de la fête et la laisse entrer en écho avec les blessures de l’époque.
Le romancier s’empare d’une thématique prétendument futile et en explore avec finesse les profondeurs. Comme Ulysse se laissant séduire par le chant des sirènes, dont il connaît pourtant les dangers mortifères, son narrateur tente de trouver un moyen terme entre l’énergie créatrice à l’œuvre dans la fête et les risques attachés à ses excès. Ce qui aurait pu n’être que le récit d’un malaise existentiel devient, sous la plume aiguisée de Tom Charbit, un roman aussi ample que bouleversant, où l’amour et la mort jouent chacun leur partition sans que l’on sache quelle pulsion mène véritablement la danse(…).
Florence Bouchy, du Monde.
Lecture et signature de Panoptica le 21 janvier à la Librairie du Château (Aubenas) à partir de 18:00.
Angelo Della Spiaggia sera présent à la Librairie du Château pour présenter son livre: Panoptica, à la découverte de la mécanique générale.
Panoptica est un roman en forme de robinsonnade moderne. Naïf omniscient, son héros court le vaste monde à la recherche de réponses.
Angelo Della Spiaggia, Homo Sapiens Sapiens en diable, n’a de cesse de penser et de penser qu’il pense. Sur son chemin hasardeux, un rien l’interroge et il cultive sa manie de tout vouloir théoriser. Sa route croise une galerie étonnante de personnages qui, chacun à leur façon, infléchissent sa trajectoire et modifient sa vision du monde.
On ne sait pas grand chose sur l’auteur, Angelo della Spiaggia. Italien peut-être, peut-être pas ; cela n’a sans doute pas d’importance.
Ce que l’on sait, c’est qu’il a mis dix années à écrire ce roman où son héros (qui porte étrangement son nom, mais dans une version administrative) lui sert de véhicule tout terrain pour explorer des territoires aussi divers que la mondialisation, la musique, la peinture, le langage, la folie, la peur, le pouvoir, le tourisme, le paysage, la croyance et bien sûr l’amour. Tout y passe pourrait-on dire, mais c’est avant tout de littérature qu’il est question.
Panoptica, A la découverte de la mécanique générale d’Angelo Della Spiaggia, aux éditions Des Mauvais Sauvages.378 pages
23€
Le jeudi 13 janvier en soirée: rencontre et lecture avec Michèle Soullier pour son premier ouvrage: « Figures et figurants, rencontres de parloirs. »
En soirée à partir de 19h, à la librairie, Michèle Soullier nous présentera son livre: « Figures et figurants, rencontres de parloirs. Un témoignage touchant sur son expérience de visiteuse de prison, elle sera accompagnée du groupe de lecture à voix haute de l’association En corps en tête.
« La prison en tant que visiteuse, ce sont des rencontres avec des personnes dont je n’aurais sans doute jamais croisé le chemin sans cette démarche. Une aventure humaine qui n’a rien à voir avec une quelconque intention de sauver des êtres en perdition. Ça ne se situe pas sur ce registre-là. Non, ma motivation, c’est plutôt le gout de l’altérité, cette différence qui nous enrichit, nous fait bouger dans nos certitudes. Des tranches de vie se racontent, des visions du monde s’échangent, sans vouloir convaincre, sans chercher à savoir qui a raison ou tort, une invitation à évoquer ce qui pèse, à le formuler, l’entendre autrement, et parfois en rire.
Michèle Soullier réside en Ardèche, à Aubenas. Elle a été visiteuse de prison dans une maison d’arrêt de 2014 à 2019 ou elle a animé des ateliers d’écriture. Elle a une longue pratique de l’écriture comme hobby, notamment dans le cadre d’ateliers. » Les éditions Baudelaire
Le samedi 18 décembre en matinée: rencontre et dédicace avec Zarina Khan et Fréderic Ploussard pour leurs derniers ouvrages .
Zarina Khan présentera son dernier ouvrage aux éditions Jacques Flament: « Réenchantons le monde! ».
QUATRIÈME DE COUVERTURE…
« Drôle d’espèce que celle des êtres humains, qui a migré et colonisé pratiquement tous les continents et perturbé son propre habitat. Au nom du mieux être de quelques-uns, elle a réquisitionné les ressources et les terres, et mis en péril avec un acharnement constant des millions d’êtres vivants et nous-mêmes.
Cette histoire vous la connaissez, elle est la nôtre, celle de chacun, mais si je la rappelle c’est parce qu’elle fonde la guerre, toutes les guerres, et que bien au-delà des guerres, ces dérives mettent en péril toutes nos aspirations à la paix. »
66 pages – 7€
Et, Fréderic Ploussard présentera son premier ouvrage : « Mobylette ».
Humour décapant!
Un premier roman qui se passe dans le « Texas lorrain » des années 90.
Un homme né trop grand dans la mauvaise famille est éducateur spécialisé pour mineurs en difficulté.
Un « roman social » qui raconte une suite de péripéties loufoques mais pleines de dérision dans un langage cru, une écriture innovante et une histoire pleine d’humanité.
« Mobylette » (Prix Stanislas du meilleur premier roman 2021) de Frederic Ploussard, chez Heloise D’ormesson.
408 pages – 21€
Le samedi 11 décembre en matinée: rencontre et dédicace avec Pierre Présumey pour ses derniers ouvrages .
Pierre Presumey nous présentera ses derniers ouvrages: « L’écossais » et « En personne – rencontres animales », aux éditions d’Hauteur d’homme, ainsi que: « le chant de l’ours » chez Boréalia, pour sa participation à la traduction.
« Dans une petite localité, nommée Le Monastier, sise dans une agréable vallée de la montagne, j’ai passé environ un mois de journées délicieuses. » Ainsi commence en Haute-Loire, Voyage avec un âne dans les Cévennes, puis très vite, Robert Louis Stevenson, s’éloigne avec l’ânesse Modestine. Le présent roman reconstitue son séjourà l’hotel de Madame Guitte, gardé par un perroquet, où le voyageur de 28 ans à la fin de l’été 1878 dort et prend ses repas. Ses interlocuteurs sont un conducteur de ponts et chaussées, un ingénieur et un clerc de notaire, chacun représentant une opinion politique. Trois femmes tiennent l’établissement, dont Fonsine, 16 ans, qui a appris à lire et à écrire avec la béate du village (célibataire chargée de l’instruction religieuse des enfants) et se passionne pour les misérables. L’auteur procède avec l’intime connaissance de la région et la poésie de l’imagination, « dans ce récit tout est inventé, même ce qui est vrai ». Et il montre comment l’Ecossais est confronté à la coexistence de la langue d’Oc et de la langue française.
CLD. (Article paru dans Libération le 9 et 10/10/2021.
Epique Carélie.
La langue vepse – idiome d’un peuple vivant en Carélie dans le nord-ouest de la Russie – compte moins de 4 000 locuteurs. Pourtant ce peuple a beau être minuscule, il possède des traditions et une littérature essentiellement orales. Le texte que l’on trouve ici est une tentative récente pour empêcher sa disparition. Il est dû à Nina Zaîtséva, poète et linguiste, qui a réuni des éléments disparates du folklore en un récit épique, cohérent et beau. Une histoire d’amour et dexploits, riches en péripéties, comme il convient aux épopées populaires, mais dont l’intérêt principal est l’étonnante symbiose entre l’humain et la forêt, son habitat naturel et l’élément central de sa représentation du monde. A l’élégante traduction française réalisée à quatre mains s’ajoutent les illustrations originales d’un artiste estonien et un magnifique savoir-faire éditorial. Un régal…
Balzamo Elena(Article du Monde des Livres du 5/11/2021)
Le samedi 13 novembre en matinée: rencontre et dédicace avec Jean-Marc Ghitti pour son dernier ouvrage Passage et présence de Simone Weil.
Jean-Marc Ghitti est professeur agrégé et auteur d’une thèse sur la question du lieu, dont sera tiré son premier ouvrage : La parole et le lieu, Minuit, 1999. Depuis lors, il poursuit un travail multiforme, dans des essais et quelques écrits littéraires, sur l’inspiration, la voix, mais aussi sur des problématiques morales et politiques (notamment aux éditions du Cerf). Il vient de publier un ouvrage sur Simone Weil : Passage et présence de Simone Weil, Paris, Kimé, où il présente la pensée de la philosophe à travers une méditation sur les lieux où elle a vécu.
Si le plus grand philosophe français du vingtième siècle était une femme, ce serait Simone Weil (1909-1943). Sa pensée, d’une grande profondeur mais très lisible, est indissociable de sa courte vie mêlée aux grandes tragédies de l’entre-deux guerres et de la défaite française de 40.
L’essai de Jean-Marc Ghitti évoque le passage de Simone Weil au mas Libian (Saint-Marcel-d’Ardèche), chez les Thibon, où elle voulait vendanger. Victime des lois antisémites, elle se retrouve en 1940 à Marseille en attendant un bateau qui la conduira en Amérique, puis à Londres aux côtés de la France Libre où elle mourra.
Depuis Marseille elle rejoint le domaine viticole où elle vivra l’une des périodes les plus heureuses de sa vie, riche en anecdotes. Elle y réfléchit à la condition paysanne et aux mutations de l’agriculture. La rencontre entre Simone Weil et la réalité sociale et mentale ardéchoise nous apprend beaucoup aussi bien sur la philosophe que sur le milieu viticole qui l’accueille.
Le livre de Jean-Marc Ghitti est une introduction à la vie et à l’ensemble de la pensée de Simone Weil à travers les différents lieux où elle a vécu, du Puy-en-Velay jusqu’à Londres.
Le 28 octobre à 19h: lecture et dédicace avec Julien Delmaire
Né en 1977, Julien Delmaire est romancier, poète et slameur. Ses romans sont publiés chez Grasset.
Le premier Georgia (2013), a été distingué par le Prix de la Porte Dorée, le deuxième, Frère des astres
(2016), par le prix Spiritualités d’Aujourd’hui.
Julien Delmaire présentera son dernier roman Delta Blues, dernièrement paru aux éditions Grasset, dans une vaste
fresque historique et musicale, il nous emmène dans le delta du Mississipi au printemps 1932 dans une
période de terreur et d’injustice teintée de blues.
14 décembre: atelier d’écriture biographique.
Ateliers mensuels: les samedis de 14h30 à 17h00, à la #LibrairieduChâteau.
Les ateliers sont proposés par l’association « En Corps En Tête » et animés par Valérie GUSELLA: éducatrice en Psychologie Narrative Formatrice en Communication et animatrice d’Ateliers d’Ecriture.
Chaque atelier est indépendant et peut être suivi de façon unique. L’ensemble des ateliers, répartis sur 9 mois, permet de « se réunir » avec une palette de textes comme autant de facettes de notre personne, redécouverte et réinventée, par le principe de la psychologie narrative et de la fonction « élucidante » de l’écriture et du récit de soi… Ecrire pour soi, écrire pour l’autre…
A chaque séance, un thème différent est exploré et encadré par une « contrainte littéraire » permettant d’investir différentes formes d’expression. Une façon ludique et efficace d’entrer en dialogue avec soi-même, de perfectionner son écriture, dans un cadre bienveillant, structuré… et complice.
Renseignements et inscriptions au 06 23 72 81 57 ou encorpsentete07@gmail.com
Tarif : 15€/Atelier ou 120€/Année (9 ateliers) – Places limitées à 6 personnes
Cet atelier est complet, mais pour votre information une nouvelle session est en place à partir de janvier 2020.